Coop : il FAUT perdre ?

[Hyann]

Petite nuance, ce n'est de seulement de perdre,  mais la peur de perdre à chaque partie qui compte  et surtout il faut faire des choix qui ont influencé le résultat pour faire un bon coop qui vient me chercher.

- Le thème aide beaucoup aussi.

- Des pouvoirs variées ou possibilité d'améliorer ton personnage ( faire des actions différentes)

- pas avoir de recette gagnante 

- un casse-tête ou le hasard ne détruit pas tout.

Ce qui tue un coop pour moi:

- Être pogné avec un 'spécialiste' qui doit toujours faire la même action pour être utile... les coops du genre sont des jeux solos déguisés en coop

- le manque de variété

- une difficulté trop inégale (comme mentionné plutôt, quand c'est l'ordre des cartes qui décident si tu va avoir une partie sans décision ou sinon une partie impossible, ce n'est pas tentant).

 

Donc j'aime Freedom même si je perds plus de partie que j'en gagne. J'aime Spirit Island même si j'en gagne plus que j'en perd.

 

[Drakenden]

Je suis heureux de voir autant d'amour pour Spirit Island dans la discussion sur les jeux coop! C'Est mon jeu #1 en ce moment, et j'aimerais qu'il soit mieux connu

 

[chriscantin]

9 hours ago, Drakenden said:

j'aimerais qu'il soit mieux connu 

Pourquoi? Ça changerait quoi? 

 

Je suis curieux. J'adore le jeu aussi, mais je m'en fou qu'il soit connu ou pas ! ;)

[Le Légume Tout-Puissant]

Le 2018-09-06 à 18:16, chriscantin a dit :

Pourquoi? Ça changerait quoi? 

 

Je suis curieux. J'adore le jeu aussi, mais je m'en fou qu'il soit connu ou pas !

Moi, si j'aime un jeu, j'aime qu'il soit connu de plusieurs. Ça me fait plus de monde intéressé à y jouer. Ça encourage aussi son créateur en créant un climat propice aux ventes de ce jeux. Ou au pire, la popularité du jeu lui fait une accolade. Mais surtout, c'est mon côté gamer. Mon côté amateur de jeux de société. J'aime faire découvrir un jeu, j'aime quand je sens qu'un jeu que j'aime perce, j'aime quand je sens que ma passion (les jeux en général, et CE jeu en pariculier) fait des adeptes. 

 

... 

 

Dans le fond, nous sommes les vecteurs d'un virus social, non? On veut partager notre passion et propager son intérêt.

 

Enfin, ce sont mes deux cents. 

[Drakenden]

Il y a 10 heures, Le Légume Tout-Puissant a dit :

Moi, si j'aime un jeu, j'aime qu'il soit connu de plusieurs. Ça me fait plus de monde intéressé à y jouer. Ça encourage aussi son créateur en créant un climat propice aux ventes de ce jeux. Ou au pire, la popularité du jeu lui fait une accolade. Mis surtout, c'est mon côté gamer. Mon côté amateur de jeux de société. J'aime faire découvrir un jeu, j'aime quand je sens qu'un jeu que j'aime perce, j'aime quand je sens que ma passion (les jeux en général, et CE jeu en pariculier) fait des adeptes. 

 

... 

 

Dans le fond, nous sommes les vecterus d'Un virus social, non? On veut partager notre passion et propager son intérêt.

 

Enfin, ce sont mes deux cents. 

Amen! Sérieusement, c'Est exactement le fond de ma pensée. Quand ya kk chose de bon, on veut le partager, pas le garder pour nous!

[cellocell]

Ah lala j'avoue aussi que mon côté maso me fait aimer les jeux qui ne sortent pas facilement. Un bon ghost stories White moon, samouraï spirit, HAA jce soumis au tirage parfois cruel des pions du chaos... autant de jeux sans être forcement mes favoris, mais qui me mettent en mode obsessionnel et m'enclaignent à s'acharner jusqu'à ce que...

[Simonmjl14]

Pour moi, perdre ou gagner ne change pas grand chose pour être honnête. Comme le disait un sage de je ne sais pas trop où: ce qui compte c'est le voyage, pas la destination... ou quelque chose du genre. En gros si je ramène ça au jeu (solo ou autre) ce qui m'importe c'est tout ce qui se passe entre le début et la fin du jeu... pas juste la fin, gagne ou perd. C'est certain qu'un certain défi est important mais la forme que prendra ce défi peut varier. Parfois ça peut être le hasard combiné à certaines décisions, parfois ça peut être une expérience un peu plus stratégique/tactique mais au final, le résultat n'est que la cerise sur le gâteau.