Res publica romana (République de Rome)

[Sazax]

La hâte se fait sentir, 13h ce sera tard mais bon je crois être capable d'attendre jusque là!!!

 

à Samedi

[iulius]

Bon ben je vais être obligé de me décommander car j'ai beaucoup trop de travail à ma nouvelle maison. Désolé les gars, j'aurais bien voulu y être, surtout que je n'ai joué à aucun jeu depuis le mois d'avril.

 

[Sazax]

c'est plate mais bon, je comprends.

 

à la prochaine fois...

[borealis]

Nouvelle job, nouveau salaire, nouvelles responsabilités = je vais peut-être devoir y aller demain pour travailler. Grrrrrr

 

Je vais savoir cela demain, désolé.

[Marmont]

Ce fut une bien belle partie!

 

Alors que tous les yeux étaient tournés vers le très influent Aemilius Macedonius qui se rapprochait du titre de Consul à Vie, échappant à un premier assassinat et ratant de peu son élection (non sans avoir vidé les coffre de toutes les factions concurrentes), la République vit s'élever dans les rangs des généraux un prétendant sérieux (l'Histoire à pour le momement oublié son nom) qui, franchissant le Rubicon avec la moitié des légions, marcha sur Rome.

 

Pendant que Consul à Vie présomptif était à nouveau victime d'une tentative d'assassinat et finalement exilé en province, le sénat leva toutes les légions disponibles et les confia à un autre consul apparemment loyal. Le rebelle écrasé et exécuté, le général victorieux retourna sa veste contre Rome et se rebella à son tour avec encore une fois environ la moitié des légions, tandis que la grogne populaire augmentait. Une machination ourdie afin de décimer la faction de laquelle était issue le rebelle envoya à la guerre contre le rebelle le chef cette même faction. Dans une luttre fratricide, le second rebelle fut vaincu et exécuté puis le général victorieux choisit de -classique- se révolter lui aussi.

 

Devant la menace, le sénat choisit d'envoyer un général d'une autre faction, avec une force à peu près égale à celle du rebelle, les coffres de la république s'étant vidés rapidement. C'est dans le mécontentement populaire et sous les mauvaises auspices d'une éclipse que ce nouveau général quitta Rome pour combattre le Rebelle approchant. Mais ce dernier remporta une victoire qui étonna tant le sénateur-scribe que ce dernier lui accorda immédiatement les clefs de la ville en oubliant d'écrire pour la postérité le nom du rebelle victorieux et empereur autoproclamé ...

 

À la saison suivante, le vénérable Aemilius aurait été de retour de province avec l'influence nécéssaire pour être élu Consul à vie automatiquement. Nul doute que le nouveau maître de la cité attend son retour pour le mettre aux fers.

 

En ce qui concerne la faction du sénateur-scribe, cette dernière passa plutôt inaperçue. Mais qu'à cela ne tienne, elle est prête à reprendre du service si jamais le sort de la république de Rome se rejoue dans une future convention...

 

Cordialement,

 

 

Cornelius Scipio, à qui on ne confia jamais le moindre commandement

[iulius]

Ce fut une bien belle partie!

 

Alors que tous les yeux étaient tournés vers le très influent Aemilius Macedonius qui se rapprochait du titre de Consul à Vie, échappant à un premier assassinat et ratant de peu son élection (non sans avoir vidé les coffre de toutes les factions concurrentes), la République vit s'élever dans les rangs des généraux un prétendant sérieux (l'Histoire à pour le momement oublié son nom) qui, franchissant le Rubicon avec la moitié des légions, marcha sur Rome.

 

Pendant que Consul à Vie présomptif était à nouveau victime d'une tentative d'assassinat et finalement exilé en province, le sénat leva toutes les légions disponibles et les confia à un autre consul apparemment loyal. Le rebelle écrasé et exécuté, le général victorieux retourna sa veste contre Rome et se rebella à son tour avec encore une fois environ la moitié des légions, tandis que la grogne populaire augmentait. Une machination ourdie afin de décimer la faction de laquelle était issue le rebelle envoya à la guerre contre le rebelle le chef cette même faction. Dans une luttre fratricide, le second rebelle fut vaincu et exécuté puis le général victorieux choisit de -classique- se révolter lui aussi.

 

Devant la menace, le sénat choisit d'envoyer un général d'une autre faction, avec une force à peu près égale à celle du rebelle, les coffres de la république s'étant vidés rapidement. C'est dans le mécontentement populaire et sous les mauvaises auspices d'une éclipse que ce nouveau général quitta Rome pour combattre le Rebelle approchant. Mais ce dernier remporta une victoire qui étonna tant le sénateur-scribe que ce dernier lui accorda immédiatement les clefs de la ville en oubliant d'écrire pour la postérité le nom du rebelle victorieux et empereur autoproclamé ...

 

À la saison suivante, le vénérable Aemilius aurait été de retour de province avec l'influence nécéssaire pour être élu Consul à vie automatiquement. Nul doute que le nouveau maître de la cité attend son retour pour le mettre aux fers.

 

En ce qui concerne la faction du sénateur-scribe, cette dernière passa plutôt inaperçue. Mais qu'à cela ne tienne, elle est prête à reprendre du service si jamais le sort de la république de Rome se rejoue dans une future convention...

 

Cordialement,

 

 

Cornelius Scipio, à qui on ne confia jamais le moindre commandement

 

Bravo! Ça semble avoir été une belle partie. J'espère pouvoir être là à Granby pour en jouer une.

[Sazax]

Ce fut une bien belle partie!

 

Alors que tous les yeux étaient tournés vers le très influent Aemilius Macedonius qui se rapprochait du titre de Consul à Vie, échappant à un premier assassinat et ratant de peu son élection (non sans avoir vidé les coffre de toutes les factions concurrentes), la République vit s'élever dans les rangs des généraux un prétendant sérieux (l'Histoire à pour le momement oublié son nom) qui, franchissant le Rubicon avec la moitié des légions, marcha sur Rome.

 

Pendant que Consul à Vie présomptif était à nouveau victime d'une tentative d'assassinat et finalement exilé en province, le sénat leva toutes les légions disponibles et les confia à un autre consul apparemment loyal. Le rebelle écrasé et exécuté, le général victorieux retourna sa veste contre Rome et se rebella à son tour avec encore une fois environ la moitié des légions, tandis que la grogne populaire augmentait. Une machination ourdie afin de décimer la faction de laquelle était issue le rebelle envoya à la guerre contre le rebelle le chef cette même faction. Dans une luttre fratricide, le second rebelle fut vaincu et exécuté puis le général victorieux choisit de -classique- se révolter lui aussi.

 

Devant la menace, le sénat choisit d'envoyer un général d'une autre faction, avec une force à peu près égale à celle du rebelle, les coffres de la république s'étant vidés rapidement. C'est dans le mécontentement populaire et sous les mauvaises auspices d'une éclipse que ce nouveau général quitta Rome pour combattre le Rebelle approchant. Mais ce dernier remporta une victoire qui étonna tant le sénateur-scribe que ce dernier lui accorda immédiatement les clefs de la ville en oubliant d'écrire pour la postérité le nom du rebelle victorieux et empereur autoproclamé ...

 

À la saison suivante, le vénérable Aemilius aurait été de retour de province avec l'influence nécéssaire pour être élu Consul à vie automatiquement. Nul doute que le nouveau maître de la cité attend son retour pour le mettre aux fers.

 

En ce qui concerne la faction du sénateur-scribe, cette dernière passa plutôt inaperçue. Mais qu'à cela ne tienne, elle est prête à reprendre du service si jamais le sort de la république de Rome se rejoue dans une future convention...

 

Cordialement,

 

 

Cornelius Scipio, à qui on ne confia jamais le moindre commandement

 

Merci Marmont pour cette gargantuesque description de la chute de l'anarchie de Rome. C'est sûr que les dieux vont nous permettre de se retrouver autours de la méditéranée.

Merci à tous pour cette partie, j'en salive encore...

[JeanMax]

Ce fut un plaisir d'être votre spectateur durant quelques minutes.

Merci pour les explications en cours de partie et de m'avoir expliqué les ficelles du jeu.

 

C'était passionnant.

Ça me donne le goût d'essayer ce genre de jeu costaud.