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Nogen

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Tout ce qui a été posté par Nogen

  1. C'est certain que si tu n'as aucun dé seul, tu n'as aucun incitatif à faire de relance. L'aspect de pousser sa chance intervient lorsque l'on a des résultats seuls. Est-ce que je garde ça comme ça et encaisse le/les coups ou est-ce je tente la chance en relançant une série en espérant combler les dés seuls, en sachant très bien que je peux aussi empirer ma situation? Au sujet de la direction artistique, je te rejoint. Elle est peu inspiré. C'est pas laid, mais c'est très, très générique. On la remarque à peine en fait; à tel point que j'ai complètement oublié d'en parler dans mon post initial.
  2. Bonjour à vous, Voici ma dernière acquisition; C'est un jeu exclusivement solo de lancement de dés en temps réel afin de réussir le plus de séries du même chiffre dans un temps imparti. En gros, nous incarnons Maia Cœur-Ardent qui doit passer un défi dans une arène en affrontant simultanément 6 adversaires. Chaque ennemi est attribué à un emplacement de 1 à 6 et à chaque round de combat, il faut rouler des séries du même nombre qui serviront à attaquer les différents ennemi, selon la valeur de 1 à 6 des séries; tous les 1 servant à attaquer l'ennemi numéro 1, les 2 pour l'ennemi à l'emplacement numéro 2, etc. Le but est d'obtenir la série requise (par exemple, 3 dés de même valeur ou plus; 2 dés de même valeur, dont un dé vert; etc.) pour faire progresser la barre de combat de l'ennemi jusqu'à le vaincre. Dans le cas où vous n'avez réussi qu'à attribuer un seul dé à un ennemi, c'est vous qui prenez des dégâts. On commence avec 8 dés, et ce nombre va varier de round en round en fonction de la fatigue de Maia, des blessures reçues, etc. Chaque round de combat dure 1 minute et durant cette minute, vous pouvez relancer les dés autant de fois que vous voulez. La twist là-dedans, c'est que vous ne pouvez relancer que des séries de dés pareil. Par exemple, vous pouvez relancer vos 4 dés avec un résultat de 3 (et il faut tous les relancer, pas question de relancer seulement 2 dés), mais vous ne pouvez pas relancer votre 5 qui est seul. C'est avec cette restriction, couplé au découpage de round de combat en 1 minute, qu'émerge un aspect de "pousser sa chance" qui fait que le jeu est extrêmement tendu. Voilà qui donne un aperçu du jeu de base. La belle affaire dans tout ça, c'est que le jeu vient avec 6 modules optionnels qu'on ajoute et mélange à loisir pour une variété de style de jeu et de difficulté qui ne me semble franchement pas dégueu. Dans les modules, il y a entre autres l'ajout d'un jeune dragon en tant qu’allié qui peut nous aider, mais ajoute un peu de chaos dans la bataille; des ennemis particulier (au lieu des troufions de base) qui ajoute du défi; des équipements qui donne un pouvoir spécial pour la partie. Le jeu vient aussi avec une petite nouvelle d'environ 10 000 mots, qui nous pose l'univers du jeu, les différents personnages et l'histoire qui amène notre personnage dans cette arène. C'est une idée originale pour le type de jeu, mais je dois dire que, personnellement, j'ai été plus ou moins convaincu. L'idée est excellente, mais le problème est qu'on a voulu nous en expliquer trop pour le format, ce qui fait qu'on lit quelque chose qui laisse une impression de bâclée. Je comprends qu'ils ne pouvaient pas nous pondre une Seigneur des Anneaux, mais comme j'ai lu ce petit livret avant même de jouer ou même de lire les règles, je partais sur une impression désagréable avant même de me lancer dans le cœur du jeu. J'étais conscient que cela ne reflétai pas la qualité du jeu en soi, mais reste ça m'a mis dans un drôle d'esprit pour commencer. Pour ce qui est du jeu en lui-même, j’ai joué quelques parties, mais il me tarde de remettre ça ce soir. On ressent assez bien la tension qu'on peut imaginer d'être dans une arène entourer de plusieurs ennemis, tentant de les repousser en attendant la faille chez un de ceux-ci et l'éliminer. J'aime particulièrement cette impression d'être un peu moi-même un combattant qui progresse et qui prend de l'expérience au combat et apprend à gérer la pression. Au début, je peinais a trier mes dés, évaluer ce que j'avais devant moi, le comparer en jetant un bref coup d’œil au différent ennemis pour voir si les résultats sont favorables, qu'est-ce que je dois relancer ou non et le tout, dans le délais d'une minute. Mes premières parties étaient brouillonne, je paniquais et me faisais défoncer, tel un combattant novice qui craque sous la pression des premiers affrontements. Puis, petit à petit, tel le guerrier qui prend de l'expérience, j'ai apprend à rester plus calme, à mieux analyser mes résultats et à mieux réagir à ceux-ci. Évidemment, ceux qui aiment les jeux solo pour se faire un petit moment de détente relaxant, vous pouvez passer votre chemin. Autrement, belle trouvaille qui sortira régulièrement pour sûr.
  3. Salut à tous, Je suis à la recherche d'une copie de This War of Mine en version française. Il semble que le jeu soit en rupture de stock partout. Si vous connaissez un endroit où il en reste une copie ou si vous avez une copie vous même dont vous voulez vous débarrassez, je serai potentiellement preneur! Merci! Édition: Je viens de me rendre compte que je n'ai pas créé le sujet dans la bonne section.
  4. Où on peut en acheter un?! Je vais passer le réveillon du jour de l'an chez un ami qui habite à Saint-Jérôme et j'aimerais vraiment lui donner ça en cadeau. ?
  5. En lisant le post de départ, je me suis dis que j'aurais beaucoup à dire sur le sujet, mais finalement, @D00D, @Cerberus777, @Phoenixio, @Migmeister, @jvallerand et @meemtyke m'ont devancés. Mes idées rejoignent les leurs et je ne ferais que répéter ce qui a déjà été dit. J'ajouterai toutefois un aspect à la discussion. Les "problèmes" d'équilibrage des jeux de Stonemaier Games, à quel point sont-ce réellement des problèmes? Je veux dire, les gens qui sont actifs sur des forums tel que celui des Dragons Nocturnes sont au bout du spectre de la passion des jeux de plateau, ce sont des gens qui sont pro-actifs dans la recherche d'information sur les jeux; abonnés sur plusieurs forums spécialisés (BGG, Tric-Trac et autres), à plusieurs fils de nouvelle sur les jeux de plateau et à toutes sorte de podcast qui touchent le domaine. Combien de ces "problèmes" auriez-vous eu conscience par vous même (avec vos 4 parties annuelles de Wingspan) si vous ne les auriez pas lu quelque part? Ce que je veux dire, c'est qu'en tant que geek des jeux de plateau, on est inévitablement dans une chambre d'écho, ce qui fait que certain "problème" résonnent tant et si bien que, aux premiers abords, on pourrai avoir l'impression qu'on est face à une problématique majeure. Alors qu'en réalité, 98% des possesseurs de ces jeux n'en auront jamais conscience et cela n'aura strictement aucun impact sur leur plaisir avec les jeux en question. Ils seront juste heureux à quel point la combinaison de leur faction et de leur plateau de joueur en début de chaque partie de Scythe leur procure une expérience de jeu presque unique à chaque fois. En tout cas, moi, ça me le fait toujours et c'est une des raisons majeures qui fait en sorte que c'est un de mes jeux favoris. Et si quelqu'un reçoit la combinaison Rusviet/Industrielle, alors je me dis que je n'ai qu'à garder cette personne à l’œil. Ça, c'est en supposant que cette personne voit l'avantage possible de cette combinaison. Si ce n'est pas un freak des jeux de plateau (ce qui est le cas de tous les gens avec qui je joue), ils ne savent même pas que ces anomalies d'équilibrage existent. Le facteur humain fait en sorte qu'il est plus probable qu'ils passent à côté. La plupart des gens jouent avec un mélange d'instinct et de stratégie, plus ou moins vague, qu'ils n'hésitent pas à réajuster en chemin, et non pas avec une feuille de calcul Excel. Édition: Excellent sujet, en passant.
  6. Petit achat ce matin pour mettre sous le sapin pour ma fille de 9 ans; ? En même temps, un autre petit achat pour bien s'amuser durant les soirées des fêtes; Voilà!
  7. Ça, c'est juste parce que tu n'as pas de ruelle mal éclairée près de chez toi. Autrement, je partage entièrement ton avis.
  8. Franchement, j'en doute vraiment beaucoup. Et si jamais un tel jeu venait à paraître, jamais je ne l’achèterai ni même y jouerai, fut-il le meilleur jeu du monde.
  9. En tout cas, on ne peut pas dire qu'Hasbro manque d'auto-dérision avec cette version du Monopoly. Le pire dans tout ça, c'est que cette perception que le Monopoly est un jeu interminable est un problème créé par les joueurs eux-même au fils des décennies. Honnêtement, qui a réellement lu les règles du Monopoly? Généralement, la plupart des gens apprennent à y jouer assez jeune et c'est presque une tradition orale, chaque génération apprenant à la génération suivante par le biais du bouche à oreille. À un moment donné dans l'histoire, on ne sait pas trop où et quand, mais les gens ont commencé à mettre tout ce qu'on devait payer, autre que l'achat direct des propriétés, au centre du plateau pour constituer une cagnotte et que celui qui tombait sur le "Stationnement Gratuit" la ramassait. C'est ça qui fait en sorte que les parties sont interminables. Combien de fois qu'une personne, à un cheveu de l'élimination, tombait sur la case, ramassait le môton et revenait dans la partie? Ça revient à injecter du nouvel argent, qui fait que la roue tourne sans cesse. Alors qu'il n'y a rien de tout ça dans les vrais règlement. La case "Stationnement Gratuit" est juste un case où il ne se passe rien. Comme elle n'appartient à personne, tu ne payes rien; de là l'appellation "Stationnement Gratuit". Il y avait aussi 2 ou 3 autres règles maisons, mais que tout le monde semblait appliquer et qui rallongeait encore un peu plus la partie. Alors que si vous jouiez selon les règles, une partie dure environ 2 heures. Bon, ça reste quand même aussi peu intéressant comme jeu, mais au moins, la fin vient plus vite. ?
  10. De mon côté, je vais chercher demain l'extension solo pour Les Pillards de la Mer du Nord et aussi, un jeu dont je me languis depuis un sacré bout de temps; Twilight Struggle. Vendredi soir, un p'tit cruchon d'IPA du Nord-Est pis on essaie ça. ?
  11. Bon, j'ai sérieusement foiré mon édition de message.?
  12. C'est parce qu'il y a des millions de gens qui ont compris le délire second degré inoffensif du concept. ?
  13. Cet exemple n'a absolument rien à voir avec l'exemple que tu as utilisé pour lancer le sujet sur l'événement d'Humboldt. D'un côté, tu as un jeu dont la seule "faute" est d'avoir un nom en commun avec un événement. Ce qui se passe dans le jeu n'a rien à voir avec la tragédie d'Humboldt et les gens qui ont créé ce jeu n'on vraisemblablement même pas conscience que cette tragédie est arrivé. Il faut utilisé de son discernement, ici. Tant qu'à faire, on devait tout simplement interdire l'utilisation du nom de Humboldt et obliger tout les gens qui portent ce nom de le changer, au risque d'heurter la sensibilité de certain canadiens. De l'autre, ton exemple de jeu sur Cédrika Provencher n'a absolument rien à voir. Il fait directement référence à cet événement, jusqu'à la mécanique de "cherche et trouve" qui fait directement référence au fait qu'elle n'a jamais été retrouvée. Sans compter que le thème résonnerait encore fortement dans un marché québécois, évidement. En fait, je ne comprends même pas pourquoi tu as sortie cet exemple tellement ça n'a rien à voir. À moins que je n'ai pas compris ton intention ou ton point? Cela dit, qu'est-ce que tu suggères? La création d'une espèce de comité qui jugerait de ce qui est acceptable ou non de traiter dans les jeux, films et l'autres livres? Je dois te dire que juste cette idée me fait trembler et augure du pire pour le futur. Ultimement, le tribunal populaire jugera de ce qui est acceptable ou non. Si un éventuel jeu avec un sujet potentiellement douteux venait à sortir, son succès ou non nous dira si c'était socialement acceptable ou non.
  14. Bien sûr! Je ne dis pas que tout ce qui sort du niveau de chance que j'ai grossièrement tenté de définir est à jeter. Évidemment, il y a d'excellent jeu qui sont autant d'un bout ou l'autre du spectre. Par contre, au vu des réponses fournies dans le sujet jusqu'à date, il semble que les avis sur la dose "idéal" de hasard crée un consensus assez fort. Le terme "unanime" de mon message précédent était mal choisi. Je dois aussi admettre que ma formulation "un bon jeu doit..." était aussi assez maladroite.
  15. Alors ça semble plutôt unanime jusqu'à maintenant; un bon jeu doit avoir une dose de chance qui fait en sorte qu'elle influence de façon perceptible le déroulement de la partie et qui en même temps, n'est pas le facteur dominant sur l'issue de celle-ci, pour autant qu'on ne fasse pas complètement fit de celle-ci. Auquel cas, c'est comme descendre une rivière avec des rapides dans un canot sans pagaie. Tu vas descendre la rivière, mais c'est pas garantie que tu seras encore là après pour le raconter.
  16. C'est une excellente façon de synthétiser mon laïus de 478 mots. ?
  17. Salut à tous, Je voulais savoir, parmi votre communauté de joueurs chevronnés, quelle est la proportion de chance idéale selon vous dans un jeu? Personnellement, j'aime particulièrement que la dose de chance soit comparable au poker, par exemple. C'est-à-dire que la dose de chance est assez grande pour la ressentir dans le jeu, mais que généralement, le joueur le plus expérimenté tirera le mieux son épingle du jeu. C'est un équilibre parfois délicat à atteindre, cependant. J'aime bien lorsque un jeu me garoche telle ou telle chose et où je dois composer au mieux avec, pour autant que le jeu me donne les outils pour le faire. Quand c'est un jeu que je commence à maîtriser, je peux raisonnablement m'attendre à bien performer et je tire une bonne satisfaction de savoir que c'est mon expérience du jeu qui m'a permis de bien m'en sortir. Et, de temps en temps, rien ne marche, j'échoue telle la carrière de chanteur d'Allan Théo (Oublie tout, ne rêve pas, mais regarde autour de toi....♪♫) et ça donne l'occasion à un autre joueur moins expérimenté de l'emporter cette fois-ci (ce qui n'est pas une mauvaise chose, selon moi). Je me méfie un peu des jeux qui n'ont aucune part de hasard. La raisons étant que dans ce genre de jeu, c'est celui qui a joué le plus et/ou qui a parcourue le plus les différents guides de stratégie qui l'emporte à tous les coups. Ça laisse peu de place au suspense et si c'est Jean-Bob qui a joué le plus au jeu, c'est Jean-Bob qui va gagner. C'est pas tant que j'accorde une grande importance à gagner (bien que je fasse toujours mon possible et tente toujours d'offrir le maximum de saine compétition), mais l'excitation de l'incertitude de qui gagnera est pour moi un aspect très important dans un jeu. À l'opposer, un jeu qui repose presque complètement sur la chance à très peu d'intérêt à mes yeux; du moins, sur le long terme. Certes, je peux certainement prendre plaisir les 2-3 premières fois où je joue à un tel jeu, juste le temps de découvrir toutes les surprises que cet hasard peut offrir. Cependant, une fois passé ce cap et la surprise du nouveau passé, bien il reste plus grand chose. C'est bien pour jouer avec les plus petits. Ça leur donne l'occasion d'apprendre à gérer les victoires comme les défaites, sans que tu ai à décider en cours de partie si tu le laisse gagner ou non (voire, l'écraser comme un petit insecte). C'est le jeu qui s'en charge. Bref, j'ai remarqué que mes jeux favoris contiennent un 15-20% de chance (c'est des chiffres lancé au pif, hein). Une petite dose de chance pour créer une p'tit peu d'incertitude et de chaos, mais pas trop question que mon expérience grandissante du jeu compte. Ça semble être le "sweet spot", selon moi.
  18. À titre comparatif, on peut voir un autre article ici daté du 9 novembre dernier, tiré de La Presse+, qui traite du même sujet; https://www.lapresse.ca/societe/201911/08/01-5249016-retour-vers-les-jeux-de-societe.php Le sujet est traité tout autant en surface que l'autre article et ne sera pas nécessairement plus difficile à comprendre pour matante Ginette, mais il laisse une impression sur le hobby drôlement plus respectueuse et plus près de la réalité. Je pense que ça rejoint plus ce que les initiés en pensent et comment ils le perçoivent. Bref, c'est un bel exemple entre un journaliste qui fait un travail de merde et un autre qui le fait correctement.
  19. M'ouais. Niveau profondeur et recherche du sujet, c'est du même niveau que résumé la physique des trous noirs à un truc dans l'espace. Point. J'ai rien contre L'Ostie de Jeu. Dans les bonnes circonstances, tu peux passer une demi-heure à rire à t'en taper sur les cuisses. Cependant, le prendre comme exemple pour illustrer où en est actuellement le jeu de société au Québec, ça fait pitié. Ce qui me rend le plus dubitatif par contre, c'est comment cet article révèle à quel point ce journaliste est mauvais (ou le journalisme en général?, mais ça, c'est un autre débat) dans son métier. Je veux dire, n'importe qui qui passe 2-3 heures à fouiller le sujet de façon sérieuse (pas intensive là, juste de façon sérieuse comme un journaliste devrait le faire) va se rendre compte que le domaine du jeu de société va beaucoup plus loin que L'ostie de Jeu et Cranium.
  20. Premier post chez les Dragons Nocturnes, je me suis dit que ce sujet était tout désigné pour commencer. J’ai pas mal toujours aimé joué à des jeux, que ce soit de plateau ou vidéo. Plus jeune et jusqu’à mes 25-26 ans, je jouais principalement aux classiques, comme par exemple Risk et Axis&Allies, Monopoly et tout les autres trucs du genre, le tout saupoudré d’un peu de D&D et de Magic : The Gathering. Bref, j’ai touché un peu à tous les gros noms, mais sans réellement avoir conscience qu’il y avait tout un monde dans le domaine des jeux de plateau. À partir de la mi-vingtaine, j’ai pas mal lâché tout, sauf les jeux vidéo. J’ai joué pas mal, au début plutôt sur Xbox et maintenant, je suis passé au PC. Je joue encore aujourd'hui, mais pas autant que je le voudrais (les enfants, la maison, tout ça). J’ai fait mon retour vers les jeux de plateau il y a environ 2 ans, lorsqu’un couple d’amis a apporté Catan lors d’une soirée. Je ne peux pas dire que c’est vraiment le jeu qui m’a donné la piqûre, mais il a certainement fait en sorte d’attirer mon attention vers le monde ludique de table et permis de réalisé que le milieu avait vraiment, mais vraiment évolué ces 15 dernières années. J’ai donc commencé à me documenter sur le sujet et, inévitablement, je me suis inscrit sur BGG. En fouillant, j’ai découvert Dead of Winter et ça a vraiment titillé mon intérêt. Amateur de la série The Walking Dead, Dead of Winter me parlait naturellement. De plus, tout le concept de traite potentiel était vraiment intéressant. Bref, ce fut le premier jeu que j’ai acheté et à partir de là, on peut dire que c’était la piqûre. Il faut dire que lorsque ta dernière expérience de jeu de plateau était Risk, une expérience comme Dead of Winter ne laisse pas indifférent. Coopérer chaque tour tous ensemble pour survivre un peu plus, tout en se méfiant des autres et tous les retournements de situation grâce au système Crossroad, disons que c’est quelque chose qui fut profondément marquant, autant pour moi, ma copine et le couple d’amis qui nous avait fait jouer à Catan. En gros, Catan fut l’instigateur de mon intérêt pour le milieu, mais Dead of Winter a vraiment été la piqûre qui a fait en sorte que ce hobby m’habite maintenant.
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