Canal argent parle de commercialisation de jeux

[surprisedpoultry]

Comment commercialiser son jeu de société

 

Un expert (Jacques Richer, fondateur et président du fabricant de jeux et jouets Bojeux) parle du processus et des risques.

[Invité Romain]

Intéressant, merci pour le lien. Mais il me semble avoir vu quelques faussetés dans l'article.

[Invité Borealis]

Sans avoir vu des faussetés flagrantes dans le texte, l'expert est faussement pessimiste. Il cite uniquement le marché nord américain et les grosses compagnie américaines. il ignore totalement le marchée européen et ses éditeurs qui sont plus facile d'accès pour un québécois qu'il le laisse supposer.

 

Après avoir lu le texte, j'ai l'impression que la connaissance ludique de cet expert se limite à The Game of Life de Hasbro, ou l'équivalent. Pour moi ses conseils sont à prendre avec un grain de sel.

[Comet]

Je ne vois pas de faussetés flagrantes... Simplement une vision plus pessimiste, que je trouve un peu réductrice, comme vous l'avez fait remarquer.

 

Il y a d'autres boutiques que les Wall machin et Toys affaires.

 

Oui, comme dans les autres "produits" culturels, ceux qui vivent de leur art sont rares. Maintenant, s'agit de savoir ce qu'on veut.

 

Je dis souvent à des jeunes que j'aide en écriture:

"Est-ce que tu veux écrire ou bien être écrivain?".

Il y a une grosse marge entre les deux.

 

On pourra se poser la même question pour les jeux.

 

Comet

[aljovin]

«L'inventeur ne prend aucun risque et empoche un pourcentage à chaque vente. À moins de mettre en branle la machine publicitaire, un jeu se détaille rarement au-delà de 27,99$. S'il souhaite recevoir davantage, l'inventeur doit se demander s'il a suffisamment confiance en son jeu pour investir dans sa commercialisation et s'endetter au besoin», souligne M. Richer.

 

Il n'a pas vu beaucoup de jeux récent cet "expert", il me semble que Mathieu est celui qui est le plus au courrant des nouvelles tendances.

 

De toute évidence, Bojeux, se veux une entreprise de jeux de masse et n'oeuvre pas dans le même calibre de jeux que nous jouons. Quoi que certains "jeux de masses" sont interressant, généralement, ces derniers ne visent généralement qu'un marché de jeunes, voir d'enfants, alors que les jeux de designers, sont des jeux qui visent les adultes généralement.

[PAPPY]

Je ne m'excuse même pas ici, mais je viens d'aller voir le site de l' "expert"...un changement de nom pour Bojouets serait plus indiqué.

 

Avant de critiquer une série de jeux (qu'il n'a fort probablement jamais vu), je lui soulignerait de réviser le choix de ses produits avant d'émettre une opinion sur l'ouverture d'esprit des éditeurs.

Je n'ai pas vu beaucoup de matériel dans son inventaire qui lui confère un titre d'expert en distribution de jouets qui pourraient être d'intérêt.

 

De toute évidence, la mise en marché d'un jeu, pour Mr. Richer ne semble pouvoir passer que par de grosses chaînes de magasins. Pour moi ce n'est que risquer de mettre tous ses oeufs dans le même panier. Oui c'est plus de travail de développer avec un réseau de ventes qui oeuvre dans les petites boutiques mais le succès y trouve une meilleure chance.

 

Et ne vous inquiétez pas, si le succès est au rendez-vous dans les boutiques spécialisées, Mr. Acheteur de la Grosse Chaîne y verra aussi une opportunité éventuellement.