Le Légume Tout-Puissant

Les débuts de la ludothèque:
Problèmes, solutions et procédures.
 
 
Comment expliquer les jeux? Un enfant ne lira pas les règles d'un jeu. Ou s'il le fait, la première partie sera ponctuée d'arrêts et de références au manuel. Le résultat sera une partie décevante et souvent, l'abandon du jeu. Je crois fermement que pour apprécier un jeu, il faut se le faire montrer par quelqu'un qui sait y jouer. si la première partie est agréable, ils rejoueront. Donc, comment expliquer les 40 jeux de la ludothèque aux enfants.
 
Nous avons tentés une première approche: limiter le nombre de jeux de la ludothèque et expliquer ces jeux durant la semaine pour les faire mousser. Chaque semaine verrait de nouvelles explications et de nouveaux jeux ajoutés. Nous avons commencés par 6 jeux (Du Balais, 1,2,truie, Scrapers, Shazaam! et Gargon). J'ai montré ces jeux aux enfants du lundi au jeudi, et tous ces jeux furent loués le jeudi soir.
 
Avantages de cette approche: Faire mousser les jeux, explications solides et première partie faite avec l'intervenant (IE, moi) pouvant répondre à leurs questions, facilité de gestion des jeux (nombre restreints) et ajouts constant de jeux créant un sentiment de renouveau, d'anticipation et de surprise.
 
Désavantages: Si l'enfant qui loue le jeu n'a pas fait parti du groupe à qui j'explique le eu, il ne le connaît pas plus. Approche nécessitant que je me consacre uniquement à l'explication de nouveaux jeux, même si les enfants veulent jouer à d'autres jeux ou faire autre chose. Forte possibilité de les écœurer. forte possibilité de m’écœurer. Apprendre constamment des nouveaux jeux devient vite une corvée pour les jeunes.
 
Les désavantages étant plus significatifs que les avantages, nous avons cessé cette approche. Je vais tenter de filmer l'explication des règles de chaque jeu. Chaque vidéo sera disponible sur le site du centre (bonus: génère du traffic et les enverra vers d'autres ressources (lorsqu'elles seront créées). Chaque vidéo devra durer 5 minutes maximum. il existe des explications en ligne, mais celle-ci tendent à avoir beaucoup de commentaires éditoriaux, des interactions inutiles entre joueurs ou des accents français. Nous voulons du simple.
 
 
Pour faire mousser les jeux, j'ai créé un cartable de la ludothèque. Dans ce cartable, chaque jeu y est décrit sur une demi-page. J'y mentionne le nombre de joueurs, la durée, le type de jeu et les types de mécaniques (faut quand même leur transmettre le vocabulaire, non?), une courte description et la couverture du jeu. L'avantage du cahier, c'est que je peux le laisser à la disposition des jeunes toute la semaine sans surveillance. ils peuvent le consulter et faire leur choix sans faire un bordel avec les boîtes des 40 jeux. autre avantage, cela les oblige à lire (la description). Ça me sauve aussi beaucoup de temps puisqu'ils peuvent faire leur choix avant l'ouverture de la ludothèque.
 
Les prêts sont d'une durée d'une semaine, avec possibilité de prolongation d'une nouvelle semaine. Nous ne nous inquiétons pas vraiment pour les retards et oublis. Ce sont des enfants, et des enfants, ça oublie. Après trois rappel, nous appellerons les parents. C'est pas bien grave. En cas de bris, nous ne chargeons pas de frais.
 
Nous avons discuté de ce problème, mais avons conclu que si bris il y a, ce sera par accident, pas par mauvaise volonté. Une planchette, ça se répare, des dés, ça s'achète, des cartes, ça se réimprime (au besoin) ou ça s'ignore, des pions, ça se colle ou ça se fabrique. Dans le pire des cas, on écrit à la compagnie et on commande la pièce nécessaire. Nous ne jouerons pas avec le lien qui nous unis avec nos familles pour si peu. Après tout, en relation d'aide, ce lien est notre principal outil d'intervention. Pourquoi y ajouter un stress?

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Shout-Out à Limbo

On entend souvent dire qu’on vit dans un monde matérialiste, dans un monde où la devise générale est chacun pour soi. Heureusement, ce n’est qu’un dicton, une sur-généralisation. Il existe des gens qui nous rappellent que nous sommes tous là pour s’entraider. Des gens qui tendent la main quand leur voisin est dans le besoin.
 
J’écris ce message pour remercier un Dragon nocturne : Limbo.

Limbo viens de nous donner une quarantaine de jeux. 4 sacs de jeux. De beaux jeux, de bons jeux, pas de la camelote. Des jeux en excellent état. Des jeux variés. Des jeux rapides, des jeux longs, des jeux à deux, des jeux à 10, des jeux pour enfants, des jeux pour jouer en familles, des jeux pour ados.
Parmi ces jeux, nous avons Mr Jack, Fantasy business, Loup-Garous de Tiercelieux, Nothingham, Moai, Witches, Oui Seigneur des Ténèbres, Citadelles, et moult autres. Notre ludothèque n'est même pas créée qu'elle offre déjà un choix respectable.
 
À lui seul, il vient de faire passer la ludothèque de projet à moyen terme à un projet concrétisé.
 
Un gigantesque merci, Limbo, ton don est vraiment apprécié.
 
PS : Dragons, si vous avez des jeux que vous n’utilisez pas ou n’utilisez plus, nous sommes toujours preneurs.

 
 
 

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Magnifique! Toute mes félicitations pour le succès de cette initiative.
 
Encore une preuve que la beauté du jeu réside souvent dans la présence des gens autour de la table et pas seulement du jeu lui-même.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
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J'ai déjà écrit ce que je pensais du forum à quelques reprises, mais je vais tenter de résumer ici.
 
Ce forum est accueillant. Cela semble banal, mais pour un forum de geek, c'est tout sauf. J'y suis depuis des mois... ok, quelques semaines, et pourtant, je m'y sent aussi respecté et écouté qu'un vieux de la vieille. Je n'ai jamais vu de forum où la culture ACCUEUILLE les newbies au lieu de les initier cruellement et les regarder de haut. En quelques semaines, je me suis fait convaincre de créer un avatar, je me suis fais invité à plusieurs parties de jeux et même au JAB. Je me suis fait donner une quarantaine de jeux pour aider des enfants que personne de ce forum ne connaît. 3 généreux dragons (shout-outs à venir pour les deux nouveaux) ont créés une ludothèque dans l'organisme communautaire où je travaille. Je n'en revient pas encore de leur générosité.
 
Je lève mon chapeau bien haut et je salue bien bas ceux qui ont créés ce forum et ont su entretenir une atmosphère de camaraderie et d'échanges.
 
Un message de bienvenue est une super idée, et je crois que ça aidera. Cela dit, ce n'est pas nécessaire du tout. Votre mot de bienvenue est véhiculé par la culture de forum que vous Dragons avez su créer et maintenir. Un forum PAR des joueurs, POUR des joueurs, qui accueille TOUS les joueurs. Bravo.
 
Je ne vous cache pas que ce forum fais parti de mes pages d'ouvertures.
 
Hugo, Dragon et fier de l'être.

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Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Commençons par la soirée de jeux de société du 5 Février (oui, oui, je sais, j’ai été débordé, que voulez-vous). Chaque parent y a été invité en personne de vive voix, les enfants ont été mis au courant et on a moussé pas mal cette soirée. Je m’attendais à avoir 10 inscriptions, j’en visais 20 et mon « plafond réaliste » était de 30. Défi personnel. On a eu 70 personnes. 35 parents et autant d’enfants. Nous avons dû louer une nouvelle salle car notre local ne pouvait accueillir tout ce beau monde. Le local qu’on avait prévu en cas de débordement fut utilisé (avec notre local initial) comme salle à manger.
 
Si initialement, les gens se sont assis par familles, nous n’avons eu aucun problème à convaincre tout ce beau monde de se mêler pour jouer ensemble. Nous avons joués une bonne heure jusqu’à ce que la pizza arrive. Tout ce beau monde a mangé, à leurs rythmes, non pas par famille, mais assis par table de partenaires de jeux. Ils sont retournés jouer par grappes. Les parents ayant des enfants de bas âges sont partis vers 1900-1930. Les autres ont joués jusqu’à 2100 et auraient continués à jouer plus longtemps si nous ne devions fermer. Ils ont même joués pendant qu’on rangeait (après avoir vainement tenté de nous aider à ranger.). Ce fut un franc-succès.
 
Le plus beau dans tout ça? Plusieurs parents ont échangés leurs numéros de téléphones. Des parents ont parlés de leur vie, de leur quotidien, de leurs craintes et leurs succès, de leurs peines et de leur joie… bref, ils ont parlés entre parents et ont découvert qu’ils ne sont pas seuls face aux insécurités de la vie parentale. Des deals ont été faits pour reconduire les enfants chacun leur tous durant la semaine.
 
Même si vos dons n’avaient eu que cet impact, ce serait grandiose. Ils ont contribués à briser l’isolement que vivent plusieurs parents. Merci de tout coeur à nos généreux donateurs.
 
Cela dit, nous apprenons de nos erreurs : nous n’avions que 2 « experts en jeux» pour répondre aux questions de nos participants. 2 pour 10-15 tables, c’est peu. Nous avons tenté de nous asseoir pour jouer avec des familles, mais ça n’a servi à rien. Nous devions toujours nous lever et aller répondre à des questions ou expliquer un jeu. Je comprends maintenant comment nos sympathiques tomates aux chandails rouges du Randolph peuvent se sentir. La prochaine fois, on fera autrement.
 
Suite, discussion sur la popularité des jeux, l’ouverture de la ludothèque et le shout-out à nos généreux donateurs (et oui, pluriel…et d'autres sont en négociation ) à suivre durant la fin de semaine ou au début de la semaine.

Salut,
 
Je vais à Québec cette fin de semaine et j'aurais de la place pour quelques jeux si ça peut vous aider.
 
Malheureusement, je ne serai pas très mobile d'ici mon départ vendredi soir, alors vous devrez venir porter vos jeux au Square-Victoria ou à la gare centrale le jour, ou à Deux-Montagnes le soir.
 
Quant à mon séjour dans la Vieille Capitale, je serai principalement à Charlesbourg.
 
Merci de noter que je n'ai pas d'appareil mobile. Je vais vérifier ma boîte de messagerie privée le plus souvent possible, mais je ne pourrai pas vous répondre «en temps réel».
 
 
 
 

C'est sur qu'on pourrait avoir une section pour chaque catégorie:
jeux de rôle
jeux de guerre
améritrash
Jeux euro
etc.
Un peu comme Jasons Jeux.
 
Mais on a décidé autrement. On mets tous les jeux dans le même section.
 
Personnellement je trouve que cela mets plus de vie comme cela. Plus de chance que votre sujet soit lu. Plus de mélange dans les genres.
 
Normalement, je ne suis pas très jeux de guerre et je n'irais pas dans cette section, mais je pourrais peut-être lire sur le sujet si quelqu'un contait sa dernière partie. Cela pourrait même me donner le goût d'y jouer. Entéka vous voyez ce que je veux dire. Il y a plus de chance que je m'intéresse aux types de jeux qui normalement m'attirent moins s'ils sont mélangés avec les autres que si chacun avait sa section.
 
Mais bon je suis peut-être le seul à penser ainsi. Vous comment voyez-vous cela?
 
 

Merci pour le vote de confiance, SlyQc!
 
X-wing: Forme deux escadrilles de deux-trois joueurs chacune. Chaque joueur contrôle un vaisseau.Faudra se parler si on veut fonctionner de manière efficace. Idem pour la plupart des jeux de miniatures (Attack wings, Pirates of the spanish Main, 40K, etc).
 
Pagamas! et Mutiny peuvent être intéressants. Dans ces jeux, le capitaine pige et distribue le butin comme il le veut entre les différents joueurs (également ou pas, d'ordinaire pas). Ceux-ci doivent ensuite voter pour savoir s'ils acceptent cette distribution ou (ok, et/ou) s'ils font une mutinerie. Attention: ce jeux peut accentuer les problèmes de rejet dans un groupe. N'y joue pas si un enfant est déjà victime d'ostracisme sérieux de la part de ses pairs.
 
Pandémie, fobidden Island et forbiden desert sont des jeux coopératifs. Ça veut dire que tous le monde joue contre le jeu. Sans s'entraider, on ne survit pas. Faut dopnc se parler. Sérieusement, les jeux coops sont tout désignés pour tes besoins. Impossible d'y jouer sans se parler.
 
Sentinels of the Multiverse est un jeu coopératif où chaque joueur incarne un superhéro qui s'unit aux autres pour vaincre le supervillain. L texte y est simple et le jeu intéressant. Les joueurs doivent faire une stratégie commune pour augmenter leurs chances de victoire. Chacun y trouve généralement sa niche, ce qui encourage la coopération.
 
L'avantage de ce jeu, selon moi, réside dans sa modularité. Tu peux facilement créer un template Photoshop poiur que tes flos puissent créer leurs propres villains et héros. À eux de playtester le jeu pour s'assurer que leur personnage reste balancé. hint, hint, ce playtest nécessite.. roulement de tambours... de la copération.
 
Colt express est un pur bijou. C'est un jeu de programmation où le thème et le chaos généré par le système de programation encourage les interactions.
 
sinon, tu veux un conseil? Crée un channel de review de jeux sur youtube. Les jeunes doivent y faire une revue et une critique des jeux auquels ils ont joués. Ça encourage l'esprit critique, et ça oblige à structurer sa pensée et à la mettre en mot... traduite!!!
 
Bon, il est 0500, d'autres détails suivront quand je serai moins fatigué.
 

Merci pour le vote de confiance, SlyQc!
 
X-wing: Forme deux escadrilles de deux-trois joueurs chacune. Chaque joueur contrôle un vaisseau.Faudra se parler si on veut fonctionner de manière efficace. Idem pour la plupart des jeux de miniatures (Attack wings, Pirates of the spanish Main, 40K, etc).
 
Pagamas! et Mutiny peuvent être intéressants. Dans ces jeux, le capitaine pige et distribue le butin comme il le veut entre les différents joueurs (également ou pas, d'ordinaire pas). Ceux-ci doivent ensuite voter pour savoir s'ils acceptent cette distribution ou (ok, et/ou) s'ils font une mutinerie. Attention: ce jeux peut accentuer les problèmes de rejet dans un groupe. N'y joue pas si un enfant est déjà victime d'ostracisme sérieux de la part de ses pairs.
 
Pandémie, fobidden Island et forbiden desert sont des jeux coopératifs. Ça veut dire que tous le monde joue contre le jeu. Sans s'entraider, on ne survit pas. Faut dopnc se parler. Sérieusement, les jeux coops sont tout désignés pour tes besoins. Impossible d'y jouer sans se parler.
 
Sentinels of the Multiverse est un jeu coopératif où chaque joueur incarne un superhéro qui s'unit aux autres pour vaincre le supervillain. L texte y est simple et le jeu intéressant. Les joueurs doivent faire une stratégie commune pour augmenter leurs chances de victoire. Chacun y trouve généralement sa niche, ce qui encourage la coopération.
 
L'avantage de ce jeu, selon moi, réside dans sa modularité. Tu peux facilement créer un template Photoshop poiur que tes flos puissent créer leurs propres villains et héros. À eux de playtester le jeu pour s'assurer que leur personnage reste balancé. hint, hint, ce playtest nécessite.. roulement de tambours... de la copération.
 
Colt express est un pur bijou. C'est un jeu de programmation où le thème et le chaos généré par le système de programation encourage les interactions.
 
sinon, tu veux un conseil? Crée un channel de review de jeux sur youtube. Les jeunes doivent y faire une revue et une critique des jeux auquels ils ont joués. Ça encourage l'esprit critique, et ça oblige à structurer sa pensée et à la mettre en mot... traduite!!!
 
Bon, il est 0500, d'autres détails suivront quand je serai moins fatigué.
 

Il y a plusieurs jeux de type impro ou négociation qui exigent de dialoguer. Le problème des jeux de plateaux, selon mon expérience, c'est qu'on parle peu en jouant.
 
Aye, Dark Lord est un de ces jeux d'impro. Il te fournit des cartes ayant une image comique, sopn nom anglais et un court texte. Déjà, ça aide à créer un vocabulaire. Il faut convaincre le maître de jeux que quelqu'un d'autre est responsable de l'échec de la mission.
 
Je te dresse une liste demain ou apre-demain.

Merci pour le vote de confiance, SlyQc!
 
X-wing: Forme deux escadrilles de deux-trois joueurs chacune. Chaque joueur contrôle un vaisseau.Faudra se parler si on veut fonctionner de manière efficace. Idem pour la plupart des jeux de miniatures (Attack wings, Pirates of the spanish Main, 40K, etc).
 
Pagamas! et Mutiny peuvent être intéressants. Dans ces jeux, le capitaine pige et distribue le butin comme il le veut entre les différents joueurs (également ou pas, d'ordinaire pas). Ceux-ci doivent ensuite voter pour savoir s'ils acceptent cette distribution ou (ok, et/ou) s'ils font une mutinerie. Attention: ce jeux peut accentuer les problèmes de rejet dans un groupe. N'y joue pas si un enfant est déjà victime d'ostracisme sérieux de la part de ses pairs.
 
Pandémie, fobidden Island et forbiden desert sont des jeux coopératifs. Ça veut dire que tous le monde joue contre le jeu. Sans s'entraider, on ne survit pas. Faut dopnc se parler. Sérieusement, les jeux coops sont tout désignés pour tes besoins. Impossible d'y jouer sans se parler.
 
Sentinels of the Multiverse est un jeu coopératif où chaque joueur incarne un superhéro qui s'unit aux autres pour vaincre le supervillain. L texte y est simple et le jeu intéressant. Les joueurs doivent faire une stratégie commune pour augmenter leurs chances de victoire. Chacun y trouve généralement sa niche, ce qui encourage la coopération.
 
L'avantage de ce jeu, selon moi, réside dans sa modularité. Tu peux facilement créer un template Photoshop poiur que tes flos puissent créer leurs propres villains et héros. À eux de playtester le jeu pour s'assurer que leur personnage reste balancé. hint, hint, ce playtest nécessite.. roulement de tambours... de la copération.
 
Colt express est un pur bijou. C'est un jeu de programmation où le thème et le chaos généré par le système de programation encourage les interactions.
 
sinon, tu veux un conseil? Crée un channel de review de jeux sur youtube. Les jeunes doivent y faire une revue et une critique des jeux auquels ils ont joués. Ça encourage l'esprit critique, et ça oblige à structurer sa pensée et à la mettre en mot... traduite!!!
 
Bon, il est 0500, d'autres détails suivront quand je serai moins fatigué.
 

milhouse_QC
 
Voilà! C'est régler!

Milhouse: Ne laisse pas la pseudo-discussion sur ton nom te rebouter du forum. C'est un coin d'internet chaleureux et super accueillant pour les nouveaux,. Même si tu garde ton nom, personne n'en prendra ombrage. Ce que tu dois retenir de ton thread, c'est les nombreux bienvenus. Ils ne sont pas écrits par politesse, mais par réel plaisir de voir un nouveau venu. Tu n'as qu'à écrire dans la section joueurs recherchés - Québec, et les invitations vont pleuvoir.
 
So, bienvenu parmi nous!