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La promotion du jeu


Vuud

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Sais-tu si Ludo-Outaouais a comme objectif (même secondaire) de «faire la promotion des jeux de société?».

Je crois que si on leur posait la question, ils répondraient que oui.

 

(je me rends compte que le terme «promotion peut être ambigüe»... Je l'utilise dans le sens de voir une augmentation de joueurs et non pour faire la promotion d'un seul jeu...)

 

François,

 

Je ne crois pas que la mission d'un club de jeux, comme Ludo-Outaouais, est de faire la promotion du Jeu. Un club existe pour ses membres. Les joueurs veulent jouer, on leur donne l'occasion. Une rencontre annuelle nationale, c'est un plus, et ça a une autre mission. Mais pas la promotion du Jeu comme tel. Plutôt la rencontre de joueurs qui veulent jouer!

 

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Sais-tu si Ludo-Outaouais a comme objectif (même secondaire) de «faire la promotion des jeux de société?».

Je crois que si on leur posait la question, ils répondraient que oui.

 

(je me rends compte que le terme «promotion peut être ambigüe»... Je l'utilise dans le sens de voir une augmentation de joueurs et non pour faire la promotion d'un seul jeu...)

 

François,

 

Je ne crois pas que la mission d'un club de jeux, comme Ludo-Outaouais, est de faire la promotion du Jeu. Un club existe pour ses membres. Les joueurs veulent jouer, on leur donne l'occasion. Une rencontre annuelle nationale, c'est un plus, et ça a une autre mission. Mais pas la promotion du Jeu comme tel. Plutôt la rencontre de joueurs qui veulent jouer!

 

 

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Cette semaine je suis allé dans une auberge avec mes enfants pour la semaine de relâche, les soirs je sortais avec mes jeux de société pour jouer avec les gens sur place. Mon but était de jouer. Est-ce que j'ai fais de la promotion des jeux, oui un peu mais j'ai surtout fais la promotion des jeux joués?

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Le marché au Québec est spécial dans le fait que nous avons plusieurs distributeurs qui possèdent des exclusivités de distribution. On a parlé de Filosofia mais c'est également le cas pour les autres distributeurs ayant des jeux en français. On peut donc dire ici que se sont eux (mais pas seulement eux) qui vont profiter de la hausse de clientèle. Mais ceci n'est pas vrai si on regarde le marché du jeu de langue anglaise. Il n'y a pas beaucoup d'exclusivités… pour l'instant…

 

Pourquoi alors le distributeur A dépenserait de l'argent pour finalement faire profiter le distributeur B? Il faut donc se tourner vers les éditeurs. Mais nous n'avons pas beaucoup d'éditeurs ici (des gros). Notre marché est trop petit… et la publicité grand public est extrêmement dispendieuse.

Mais encore, je ne crois pas que cela soit une bonne idée de laisser la promotion du jeu de société à une maison d'édition, à un distributeur ou même à un regroupement de distributeurs. Il y a un danger de petite guerre et d'exclusion qui finirait par ne pas aider la cause.

 

Je crois sincèrement que la promotion doit venir des joueurs. Je crois que la promotion des jeux de société doit passer par une association provinciale de joueurs de jeux de société. Eux pourraient faire le pont entre les maisons d'édition, les distributeurs, les commerçants et organiser un rassemblement annuel dans le genre du salon du livre et d'autres plus petite dans le but de faire de la promotion du jeux de société.

 

Les objectifs de cette association pourront être la promotion du jeu vers la population générale mais aussi vers les joueurs avertis. Le financement de cette association pourrait provenir des maisons d'édition, des distributeurs et/ou des commerçants. Mais il ne faut pas que cette association soit dirigée par une maison d'édition, un distributeur ou un commerçant.

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Ok, d'accord avec cette proposition. Mais je doute qu'elle soit mise en place un jour. On risque d'attendre longtemps si on ne fait rien nous même...

Le marché au Québec est spécial dans le fait que nous avons plusieurs distributeurs qui possèdent des exclusivités de distribution. On a parlé de Filosofia mais c'est également le cas pour les autres distributeurs ayant des jeux en français. On peut donc dire ici que se sont eux (mais pas seulement eux) qui vont profiter de la hausse de clientèle. Mais ceci n'est pas vrai si on regarde le marché du jeu de langue anglaise. Il n'y a pas beaucoup d'exclusivités… pour l'instant…

 

Pourquoi alors le distributeur A dépenserait de l'argent pour finalement faire profiter le distributeur B? Il faut donc se tourner vers les éditeurs. Mais nous n'avons pas beaucoup d'éditeurs ici (des gros). Notre marché est trop petit… et la publicité grand public est extrêmement dispendieuse.

 

Mais encore, je ne crois pas que cela soit une bonne idée de laisser la promotion du jeu de société à une maison d'édition, à un distributeur ou même à un regroupement de distributeurs. Il y a un danger de petite guerre et d'exclusion qui finirait par ne pas aider la cause.

 

Je crois sincèrement que la promotion doit venir des joueurs. Je crois que la promotion des jeux de société doit passer par une association provinciale de joueurs de jeux de société. Eux pourraient faire le pont entre les maisons d'édition, les distributeurs, les commerçants et organiser un rassemblement annuel dans le genre du salon du livre et d'autres plus petite dans le but de faire de la promotion du jeux de société.

 

Les objectifs de cette association pourront être la promotion du jeu vers la population générale mais aussi vers les joueurs avertis. Le financement de cette association pourrait provenir des maisons d'édition, des distributeurs et/ou des commerçants. Mais il ne faut pas que cette association soit dirigée par une maison d'édition, un distributeur ou un commerçant.

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Quand j'ai parlé de Filosofia, c'était un exemple. Je sais que depuis 4 ans, c'est le cas de presque tous les distributeurs sauf peut-être Jouet KID. C'est un énorme problème. Ça empêche la saine concurrence et les baisses de prix. Ça devrait être illégal. Les commerçants le savent bien je crois.

Le marché au Québec est spécial dans le fait que nous avons plusieurs distributeurs qui possèdent des exclusivités de distribution. On a parlé de Filosofia mais c'est également le cas pour les autres distributeurs ayant des jeux en français. On peut donc dire ici que se sont eux (mais pas seulement eux) qui vont profiter de la hausse de clientèle. Mais ceci n'est pas vrai si on regarde le marché du jeu de langue anglaise. Il n'y a pas beaucoup d'exclusivités… pour l'instant…

 

Pourquoi alors le distributeur A dépenserait de l'argent pour finalement faire profiter le distributeur B? Il faut donc se tourner vers les éditeurs. Mais nous n'avons pas beaucoup d'éditeurs ici (des gros). Notre marché est trop petit… et la publicité grand public est extrêmement dispendieuse.

 

Mais encore, je ne crois pas que cela soit une bonne idée de laisser la promotion du jeu de société à une maison d'édition, à un distributeur ou même à un regroupement de distributeurs. Il y a un danger de petite guerre et d'exclusion qui finirait par ne pas aider la cause.

 

Je crois sincèrement que la promotion doit venir des joueurs. Je crois que la promotion des jeux de société doit passer par une association provinciale de joueurs de jeux de société. Eux pourraient faire le pont entre les maisons d'édition, les distributeurs, les commerçants et organiser un rassemblement annuel dans le genre du salon du livre et d'autres plus petite dans le but de faire de la promotion du jeux de société.

 

Les objectifs de cette association pourront être la promotion du jeu vers la population générale mais aussi vers les joueurs avertis. Le financement de cette association pourrait provenir des maisons d'édition, des distributeurs et/ou des commerçants. Mais il ne faut pas que cette association soit dirigée par une maison d'édition, un distributeur ou un commerçant.

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Je suis du même avis dans les écoles c'est un excellent endroit. Surtout pour que les jeunes jouent en premier au style "eurogame". La perception des jeux de société serait plus réaliste que celle qu'on les gens actuellement en associant les jeux de société au classique comme monopoly, risk, jour de paye, des jeux de questions ou de mémoire. Comment entrer dans les écoles, ça ce n'est pas évident? Voici 2 suggestions, 1- promouvoir des clubs de jeux dans les écoles surtout au secondaire et 2- pour le primaire passer par les services de gardes. Actuellement, je suis responsable dans ma commission scolaire et je fais partie du comité provincial de la nouvelle formation obligatoire que les éducatrices en milieu scolaire doivent suivre.

C'est certain que si je trouve un lien avec mon travail et les jeux de société, je vais le faire. Pour les gens de l'industrie, parce que c'est eux qui ont le plus à gagner, ils devraient donner ou vendre à peu de frais des bons jeux pour donner leur goût et faire des animations gratuite pour les présenter.

 

Un autre endroit intéressant pour faire découvrir notre hobby c'est être présent dans les offres de loisir communautaire. Par exemple, offrir dans les bibliothèques à tous les dimanches matin de l'animation de jeux de société pour la famille.

 

Dernière idée est de créer une association provinciale de joueur de jeux de société. Je sais que cela a déjà existé ou même ça existe déjà mais c'est marginal. Pour avoir une association forte, il faut avoir une mission qui correspond au besoin des membres et avoir des gens passionnées et disponible pour gérer tous ça. Comme mission, dire qu'on fait de la promotion des jeux c'est vraiment pas suffisant. Il faut avoir comme objectif d'avoir un bon "membership", qu'est-ce que les gens voudraient pour être de cette association? À mon avis, des avantages comme plus de diversité ludique (tournois, journée thématique, dans plusieurs région du Québec, etc), des rabais sur le prix des jeux et aux événements, des informations privilégiés sur le monde ludique, etc. Pour avoir une association, ça prend aussi un appui des gens de l'industrie, car c'est eux qui y gagne le plus au final.

 

 

 

Il faudrait voir ailleurs, exemple en Allemagne comment ils ont réussi à avoir autant de joueurs?

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Ok, d'accord avec cette proposition. Mais je doute qu'elle soit mise en place un jour. On risque d'attendre longtemps si on ne fait rien nous même...

 

Lorsque je parles d'une association de joueurs, je parles de nous-même (la communauté de joueurs). C'est à nous de faire cette association et de trouver le financement et de convaincre les maisons d'édition, les distributeurs et les commerçants d'embarquer dans le projet. Il faudrait pousser plus loin l'analogie avec le salon du livre. Qui a fait le premier salon à Montréal ? Est-ce une poigné d'éditeurs, de commerçants ou des passionnés du livre?

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Mais cela est un peu bizzare, nous prennons la tâche de le faire fructifier, de le faire découvrir et eux ils n'ont qu'à récolter les bénéfices supplémentaires sans risque financiers suplémentaires.

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Pour revenir à la question, je crois personellement que la meilleur place pour faire connaître notre passion, ce sont les écoles. Les jeunes sont à la base déjà intéressé à jouer. Ils ont juste besoin d'un peu d'accompagnement pour la maîtrise des règles et c'est parti! Par la suite, une activité comme il s'est faîtes où les parents sont invités permet de diffuser le jeu au grand public.

 

Je suis d'accord que les écoles serait un bon endroit, comme activité para-scolaire peut-être. Par contre, si je me rappelle bien, même si Ludo-Outaouais tiennent leur rencontre dans une école, les étudiants n'y sont pas invité. C'est quelque chose qui ma surpris d’ailleurs.

 

Autre chose, dans le programme d'activité de la Ville, j'y verrais bien moi une activité de jeu offerte qui s’adresserait aux jeunes.

 

J'aimerais par contre préciser quelque chose, la question n'est pas Pourquoi on doit faire la promotion du jeu mais plutôt Comment non?

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J'ai déjà vu qu'à St-Canut, il y avait dans le livres communautaires d'activité qu'il y avait une pm de jeu, donc certaines municipalités le permettre déjà et le publicisent.

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+1

Ok, d'accord avec cette proposition. Mais je doute qu'elle soit mise en place un jour. On risque d'attendre longtemps si on ne fait rien nous même...

 

Lorsque je parles d'une association de joueurs, je parles de nous-même (la communauté de joueurs). C'est à nous de faire cette association et de trouver le financement et de convaincre les maisons d'édition, les distributeurs et les commerçants d'embarquer dans le projet. Il faudrait pousser plus loin l'analogie avec le salon du livre. Qui a fait le premier salon à Montréal ? Est-ce une poigné d'éditeurs, de commerçants ou des passionnés du livre?

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Il faudrait qu'un dragon se sacrifie pour participer à un quelconque "occupation loft académie " afin de ploguer subtilement les jeux... du genre " Arrête de faire ton colon ... de catane"

 

mais blague à part, j'imagine plus un organisme indépendant du style Educ-alcool qui mettrait de l'avant les bienfaits du jeu en général.

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Mais cela est un peu bizzare, nous prennons la tâche de le faire fructifier, de le faire découvrir et eux ils n'ont qu'à récolter les bénéfices supplémentaires sans risque financiers suplémentaires.

 

Tu y vois que le côté financier. Moi j'y vois aussi plus de choix s'il y a plus de joueurs. Imagine pour un instant que le nombre de joueurs diminue grandement. Il y aura donc moins d'acheteurs. Donc moins de ventes, Donc moins de maisons d'édition, moins de distriuteurs, moins de commerces. Ceci veut simplement dire moins de jeux et moins de choix pour les joueurs.

 

C'est aussi à notre avantage (les joueurs) de voir la communauté augmenter.

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Tu y vois que le côté financier. Moi j'y vois aussi plus de choix s'il y a plus de joueurs. Imagine pour un instant que le nombre de joueurs diminue grandement. Il y aura donc moins d'acheteurs. Donc moins de ventes, Donc moins de maisons d'édition, moins de distriuteurs, moins de commerces. Ceci veut simplement dire moins de jeux et moins de choix pour les joueurs.

 

Mais ce même argument tient aussi pour les éditeurs/distributeurs qui pourraient voir leur gagne-pain disparaître? Les joueurs peuvent ne pas avoir beaucoup de choix pour l'achat mais quand même se bricoler quelque chose pour s'occuper (on s'entend que les boardgames sont un loisir), alors que les maisons d'éditions et distributeurs dépendent directement de l'état de santé du milieu.

 

Quant à l'accès à plus de joueurs, je ne crois pas que ce soit aussi majeur que les aspects financiers... Je doute fort que des gens se donnent corps et âme pour faire une giga-association provinciale de joueurs quand au final ça ne change presque rien localement, entre amis. Je ne suis pas certain que les organisateurs des grandes conventions comme Granby ou les JAB en retirent vraiment tant de bénéfices en nombre de joueurs qui les joignent hebdomadairement lors de leurs soirées régulières. J'ai toujours cru que c'était un acte de générosité incomparable question temps investi, et je leur en remercie très chaleureusement sans pourtant jamais n'avoir joué avec eux.

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Mais ce même argument tient aussi pour les éditeurs/distributeurs qui pourraient voir leur gagne-pain disparaître? Les joueurs peuvent ne pas avoir beaucoup de choix pour l'achat mais quand même se bricoler quelque chose pour s'occuper (on s'entend que les boardgames sont un loisir), alors que les maisons d'éditions et distributeurs dépendent directement de l'état de santé du milieu.

 

Je parles bien entendu du marché Québécois mais en tenant compte qu'il existe d'autres marchés qui peuvent être beaucoup plus rentables. Un distributeur / éditeur pourrait très bien décider de laisser tomber le marché Québécois (voir Canadien) et se concentrer sur un ou d'autres marchés plus lucratif financièrement. L'Europe et les USA me viennent à l'esprit. Ces compagnies peuvent être mobiles et un financier va regarder où il peut faire le plus d'argent avec le moins d'effort (investissement)...

 

 

Quant à l'accès à plus de joueurs, je ne crois pas que ce soit aussi majeur que les aspects financiers... Je doute fort que des gens se donnent corps et âme pour faire une giga-association provinciale de joueurs quand au final ça ne change presque rien localement, entre amis. Je ne suis pas certain que les organisateurs des grandes conventions comme Granby ou les JAB en retirent vraiment tant de bénéfices en nombre de joueurs qui les joignent hebdomadairement lors de leurs soirées régulières. J'ai toujours cru que c'était un acte de générosité incomparable question temps investi, et je leur en remercie très chaleureusement sans pourtant jamais n'avoir joué avec eux.

 

J'admire également ces bénévoles qui organisent ces évènements mais ce sont des bénévoles. Le résultat est donc en conséquence. Ils organisent de très belles rencontres pour des joueurs initiés aux jeux de société du type Euro. Ils n'ont pas les ressources (monétaire et administratif) pour prendre les moyens d'attirer le grand public (joueurs non initiés aux jeux de société). Faites un sondage aux JAB pour voir combien des 33% de nouveaux inscrits sera la première fois qu'ils joueront à des jeux de société du type Euro. SVP ne tournez pas ce que je viens de dire en un reproche. Félicitation pour avoir réussi à attirer 33% de nouveaux participants. Mais je doute que cela soit des nouveaux joueurs. Ce n'est peut être pas leur objectif n'ont plus, je ne sais pas car je ne suis pas impliqué dans une telle organisation.

 

Ce que j'avance comme idée n'est pas une association diriger par des bénévoles qui organisent une rencontre de temps en temps. Je pense plus à des passionnés des jeux rémunérés pour leur travail et organisant des rencontres pour grand public et pour les initiés, de la publicité (web, média écrit, radio, télé, etc), de la promotion (festival, écoles, autres associations de jeux) et défendre l'intérêt des joueurs du Québec au près des éditeurs, distributeurs et commerçants.

 

Ou bien entendu, on peut laisser aux distributeurs / éditeurs le soin de décider à notre place... et faire ce qui est le plus rentable pour eux...

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