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La consecration chinoise


Sorcerak

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Je suis tombe sur un article interessant concernant la contrefacon chinoise:

http://www.spotlightongames.com/muse/44.html

 

Resume de l'article:

Des jeux "allemands" peuvent se trouver en Chine de qualite identique a ce qui est vendu par ici, meme qualite de materiel et d'image, a une fraction du prix. La seule difference est quelques caracteres chinois sur les cartes lorsque necessaire, sur la boite, ainsi que plusieurs feuilles d'instructions en mandarin imprimees sur des feuilles standard.

 

tn_P1000532.jpgtn_P1000534.jpg

 

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tn_P1000545.jpgtn_P1000531.jpg

 

Exemple de prix de detail suggeres: Colons de catane a 13$, Carcassonne a 11.50$, Saboteur a 5.50$

 

Le tout etant sans redevances de droits d'auteurs, le marche chinois n'etant pas pret a payer pour les droits de licences de ces produits selon un des employe contacte a l'entrepot en question. Vous remarquerez que les boites semble avoir conservees le nom des auteurs dessus malgre tout - au moins le marche chinois est pret a ceci, c'est deja ca de pris ;)

 

C'est tout de meme ironique qu'en cherchant a couper les couts de production on a creer ce monstre par ricochet en developpant leur savoir faire qui a rendu ceci possible :biga

 

La question du jour : A quand Miss Chow Mein? :pense

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La question du jour : A quand Miss Chow Mein? :pense

 

À voir les jeux qui ont étés contrefaits, je le prendrais presque comme un compliment.

 

Comme la Chine contrefait à peu près tout ce qui peut être fabriqué, films, voitures, livres, jouets, etc., je ne suis pas surpris que les jeux y passent aussi. <_<

 

C'est tout de meme ironique qu'en cherchant a couper les couts de production on a creer ce monstre par ricochet en developpant leur savoir faire qui a rendu ceci possible :biga

 

Le salaire des chinois et les coûts de production ne se comparent pas à celui des allemand, et en plus ils n'ont pas de coûts d'exportation. Ce n'est pas compliqué ni coûteux non plus numériser une boîte et son contenu pour ensuite rajouter 2-3 symboles, Mr. Jack est fabriqué en allemagne à l'origine.

 

Une autre arnaque des chinois : la contrefaçon du logo CE. Ce logo est supposé être contrôlé, mais il devient la marque Chinese Export, facile à confondre avec celui de Conformité européenne.

 

http://www.pc-boost.com/actualite-12101921...-pour-vous.html

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J'espère seulement que personne sur ce forum ne sera tenté d'acheter ces versions contrefaites...

 

Ça me rappelle une anecdote: On est à Florence, sur le Ponte Vecchio, il y a plein de "vendeurs" installés sur la rue avec des montres et des portes-feuilles vraiment pas chers... C'est plein de touristes qui marchandent pour avoir des prix encore plus bas et qui sont tout fiers de leurs achats... Tout d'un coup, on entend un gars sifflé, pis tous les vendeurs disparaissent en 3 secondes... 5 secondes plus tard, une voiture de police passe... Une couple d'heure plus tard, je vois dans le lobby de l'hôtel un des touristes qui était si fier de ses achats... Il venait de se faire voler son porte-feuille et il était en ben tabarn*k... Je suppose qu'il pourra aller le racheter pas cher sur le Ponte Vecchio...

 

C'était mon petit discours de moralité du dimanche

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Et bien peut-être que Games Workshop peut vraiment se faire du soucis !

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Mode cynisme on.

 

Moi, je veux mon salaire de nord-américain privilégié et les prix dérisoires des chinois. Tant qu'à y être, je voudrais que les gens de l'industrie du jeu au Québec ne gagne pas plus que le salaire moyen des Chinois. C'est certain que ça leur donnerais vraiment le goût de continuer à travailler dans ce domaine.

 

Mode cynisme off.

 

Ceci étant dit, pour être honnête, j'achète souvent la version anglaise lorsque qu'il n'y a pas de texte sur le matériel et lorsque je trouve que la version française est beaucoup plus cher. Mais ça c'est une autre histoire...

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Merci Sorcerak pour le lien. Intéressant en effet...

 

Cela dit, c'est tout aussi choquant, ni moins ni plus, que la contrefaçon à laquelle s'adonne une très grande partie du patronat, ici et partout ailleurs, consistant à "copier" pour moins cher le savoir-faire d'employés qualifiés, à virer ceux-ci, et à former sur cette base des employés moins qualifiés. Mais cette contrefaçon-là est légale, ça s'appelle la prolétarisation. Une autre forme de dépossession sans frontières ;)

 

Au moins les industriels peuvent être propriétaires de leurs procédés en protégeant leur PI.

Nous, pauvres cons de salariés ou de travailleurs autonomes, nous ne sommes mêmes pas propriétaires de notre savoir-faire.

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Merci Sorcerak pour le lien. Intéressant en effet...

 

Cela dit, c'est tout aussi choquant, ni moins ni plus, que la contrefaçon à laquelle s'adonne une très grande partie du patronat, ici et partout ailleurs, consistant à "copier" pour moins cher le savoir-faire d'employés qualifiés, à virer ceux-ci, et à former sur cette base des employés moins qualifiés. Mais cette contrefaçon-là est légale, ça s'appelle la prolétarisation. Une autre forme de dépossession sans frontières ;)

 

Au moins les industriels peuvent être propriétaires de leurs procédés en protégeant leur PI.

Nous, pauvres cons de salariés ou de travailleurs autonomes, nous ne sommes mêmes pas propriétaires de notre savoir-faire.

---mode prolétaire ON--- Un ouvrier est propriétaire de sa force de travail pas de ce qu'il crée. Un patron, comme tu dit, ne copie pas le savoir-faire d'un ouvrier qualifié. Il peut cependant accepter de diminuer la qualité d'un bien fabriqué pour diminuer son coût de production. Il fait appelle à des ouvriers moins qualifié pour exécuter les tâches de fabrication.

Cette prolétarisation est plus que nécessaire, elle est indispensable. En effet, si l'on accepte l'idée que les prolétaires se révolteront un jour, il faut, pour leur permettre de se conscientiser et de prendre les armes, exacerber l'écart entre les riches et les pauvres. En ce sens Walmart et les chinois sont des alliés du prolétariat puisqu'il accélère le cours de l'Histoire et prépare le terrain à la Révolution du prolétariat. ---mode prolétaire off---

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En effet, si l'on accepte l'idée que les prolétaires se révolteront un jour, il faut, pour leur permettre de se conscientiser et de prendre les armes, exacerber l'écart entre les riches et les pauvres. En ce sens Walmart et les chinois sont des alliés du prolétariat puisqu'il accélère le cours de l'Histoire et prépare le terrain à la Révolution du prolétariat.

C'est assez évident en effet, c'est de la dialectique de base. Julien Coupat ne dit d'ailleurs rien d'autre.

Prolos et anars de gauche : votez Sarko pour mettre le feu aux poudres ;)

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En effet, si l'on accepte l'idée que les prolétaires se révolteront un jour, il faut, pour leur permettre de se conscientiser et de prendre les armes, exacerber l'écart entre les riches et les pauvres. En ce sens Walmart et les chinois sont des alliés du prolétariat puisqu'il accélère le cours de l'Histoire et prépare le terrain à la Révolution du prolétariat.

C'est assez évident en effet, c'est de la dialectique de base. Julien Coupat ne dit d'ailleurs rien d'autre.

Prolos et anars de gauche : votez Sarko pour mettre le feu aux poudres ;)

 

Ça ne fonctionne pas ce genre de plan... J'ai pensé lors de l'élection de Jean Chrétien que ça aiderait la cause de la souveraineté du Québec et pourtant... Une des grandes forces du capitalisme est l'adaptation: je me souviens d'une citation dans Red Ketchup: "Quand viendra le temps de pendre le dernier capitaliste, il nous vendra la corde". :laughingdude

 

C'est drôle, je jouerais bien à Kremlin moi...

 

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Un patron, comme tu dit, ne copie pas le savoir-faire d'un ouvrier qualifié.

En fait, oui, ce principe de copie de savoir-faire auprès des emplois qualifiés est appliqué en entreprise, aujourd'hui et ici même au Québec. Pas dans toutes les compagnies bien sûr, mais c'est une tendance de plus en plus marquée dans les entreprises de grande taille. C'est dans l'air du temps. Attention : en langage RH, on n'appelle pas ça "copie" (faut pas déconner), mais plutôt "normalisation des procédures", "extraction des expertises", "rationalisation des méthodes" etc. En langage clair : "tu connais bien ton boulot, montre-nous comment tu le fais... et après tu dégages".

 

L'effort que certaines compagnies dépensent en R&D pour absorber le savoir-faire de leurs experts sous forme de systèmes de règles, de systèmes informatiques résilients, de réseaux de neurones, d'agents automatiques intelligents ou de logique floue me laisse sur le cul... Je peux vous dire que ca va dégager sec dans les années qui viennent, et pour ceux qui rentreront pour les remplacer, ce sera par la porte du bas... Et je parle bien d'emplois qualifiés, y compris "intellectuels".

 

Si on prend le terme prolétarisation au sens originel, c'est-à-dire dépossession du savoir-faire des travailleurs, oui nous sommes en plein dans une tendance de prolétarisation des classes moyennes. Mais de toute manière, de quoi sommes-nous encore propriétaires dans ce domaine ? Le glissement de sens de certains mots clés utilisés en communication d'entreprise est frappant. Quand j'ai commencé à bosser, un salarié avait un métier et des compétences ; aujourd'hui, ces deux notions sont accaparées par l'entreprise elle-même : "Nous, entreprise Tartenpion, notre métier c'est..., notre compétence c'est..." Ce qu'il reste aux salariés : la performance et la motivation. De métier plus question, mais de fonction ou de job à la rigueur...

 

On est en train de se faire sucer jusqu'à l'os :rolleyes:

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Un patron, comme tu dit, ne copie pas le savoir-faire d'un ouvrier qualifié.

En fait, oui, ce principe de copie de savoir-faire auprès des emplois qualifiés est appliqué en entreprise, aujourd'hui et ici même au Québec. Pas dans toutes les compagnies bien sûr, mais c'est une tendance de plus en plus marquée dans les entreprises de grande taille. C'est dans l'air du temps. Attention : en langage RH, on n'appelle pas ça "copie" (faut pas déconner), mais plutôt "normalisation des procédures", "extraction des expertises", "rationalisation des méthodes" etc. En langage clair : "tu connais bien ton boulot, montre-nous comment tu le fais... et après tu dégages".

 

L'effort que certaines compagnies dépensent en R&D pour absorber le savoir-faire de leurs experts sous forme de systèmes de règles, de systèmes informatiques résilients, de réseaux de neurones, d'agents automatiques intelligents ou de logique floue me laisse sur le cul... Je peux vous dire que ca va dégager sec dans les années qui viennent, et pour ceux qui rentreront pour les remplacer, ce sera par la porte du bas... Et je parle bien d'emplois qualifiés, y compris dit "intellectuels".

 

Si on prend le terme prolétarisation au sens originel, c'est-à-dire dépossession du savoir-faire des travailleurs, oui nous sommes en plein dans une tendance de prolétarisation des classes moyennes. Mais de toute manière, de quoi sommes-nous encore propriétaires dans ce domaine ? Le glissement de sens de certains mots clés utilisés en communication d'entreprise est frappant. Quand j'ai commencé à bosser, un salarié avait un métier et des compétences ; aujourd'hui, ces deux notions sont accaparées par l'entreprise elle-même : "Nous, entreprise Tartenpion, notre métier c'est..., notre compétence c'est..." Ce qu'il reste aux salariés : la performance et la motivation. De métier plus question, mais de fonction ou de job à la rigueur...

 

On est en train de se faire sucer jusqu'à l'os :rolleyes:

Non.

C'est la route que doit prendre la Raison. Qu'il en sois ainsi.

Si maintenant tu ne le souhaites pas, tu dois agir et préparer la Révolution. Si tu ne souhaites pas faire la Révolution et bien tasse-toi et laisse la Raison et l'Histoire faire son chemin.

 

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Un patron, comme tu dit, ne copie pas le savoir-faire d'un ouvrier qualifié.

En fait, oui, ce principe de copie de savoir-faire auprès des emplois qualifiés est appliqué en entreprise, aujourd'hui et ici même au Québec. Pas dans toutes les compagnies bien sûr, mais c'est une tendance de plus en plus marquée dans les entreprises de grande taille. C'est dans l'air du temps. Attention : en langage RH, on n'appelle pas ça "copie" (faut pas déconner), mais plutôt "normalisation des procédures", "extraction des expertises", "rationalisation des méthodes" etc. En langage clair : "tu connais bien ton boulot, montre-nous comment tu le fais... et après tu dégages".

 

L'effort que certaines compagnies dépensent en R&D pour absorber le savoir-faire de leurs experts sous forme de systèmes de règles, de systèmes informatiques résilients, de réseaux de neurones, d'agents automatiques intelligents ou de logique floue me laisse sur le cul... Je peux vous dire que ca va dégager sec dans les années qui viennent, et pour ceux qui rentreront pour les remplacer, ce sera par la porte du bas... Et je parle bien d'emplois qualifiés, y compris dit "intellectuels".

 

Si on prend le terme prolétarisation au sens originel, c'est-à-dire dépossession du savoir-faire des travailleurs, oui nous sommes en plein dans une tendance de prolétarisation des classes moyennes. Mais de toute manière, de quoi sommes-nous encore propriétaires dans ce domaine ? Le glissement de sens de certains mots clés utilisés en communication d'entreprise est frappant. Quand j'ai commencé à bosser, un salarié avait un métier et des compétences ; aujourd'hui, ces deux notions sont accaparées par l'entreprise elle-même : "Nous, entreprise Tartenpion, notre métier c'est..., notre compétence c'est..." Ce qu'il reste aux salariés : la performance et la motivation. De métier plus question, mais de fonction ou de job à la rigueur...

 

On est en train de se faire sucer jusqu'à l'os :rolleyes:

Ce discours me parle !

C'est arrivé à ma blonde pas plus tard que cet automne !

Elle avait des connaissances, un enfant dans ventre. Elle a transmit ses connaissances à une employée moins bien payé, elle est partie mettre un enfant au monde et s'occuper de lui une fois né.

Elle est revenue au travail 6 mois après avoir accouché, en arrêtant son allaitement naturel (à son grand regret). Elle à vérifier et corriger tout le travail qui avait été fait pendant son absence, elle à préparer les statistiques de l'année pour l'assemblée générale annuelle, puis le jeudi suivant à 16h30 (heure de fermeture des bureaux) elle s'est fait dire que ce n'était pas de revenir le vendredi.

Maintenant, une autre personne fait son travail pour 4 dollars de moins de l'heure.

Moralité, mon cher Phoenixuela & Ted Lapinus, je te crois et aussi, les enfants ne semblent pas très compatible avec le travail dans notre monde moderne.

 

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Un patron, comme tu dit, ne copie pas le savoir-faire d'un ouvrier qualifié.

En fait, oui, ce principe de copie de savoir-faire auprès des emplois qualifiés est appliqué en entreprise, aujourd'hui et ici même au Québec. Pas dans toutes les compagnies bien sûr, mais c'est une tendance de plus en plus marquée dans les entreprises de grande taille. C'est dans l'air du temps. Attention : en langage RH, on n'appelle pas ça "copie" (faut pas déconner), mais plutôt "normalisation des procédures", "extraction des expertises", "rationalisation des méthodes" etc. En langage clair : "tu connais bien ton boulot, montre-nous comment tu le fais... et après tu dégages".

 

L'effort que certaines compagnies dépensent en R&D pour absorber le savoir-faire de leurs experts sous forme de systèmes de règles, de systèmes informatiques résilients, de réseaux de neurones, d'agents automatiques intelligents ou de logique floue me laisse sur le cul... Je peux vous dire que ca va dégager sec dans les années qui viennent, et pour ceux qui rentreront pour les remplacer, ce sera par la porte du bas... Et je parle bien d'emplois qualifiés, y compris dit "intellectuels".

 

Si on prend le terme prolétarisation au sens originel, c'est-à-dire dépossession du savoir-faire des travailleurs, oui nous sommes en plein dans une tendance de prolétarisation des classes moyennes. Mais de toute manière, de quoi sommes-nous encore propriétaires dans ce domaine ? Le glissement de sens de certains mots clés utilisés en communication d'entreprise est frappant. Quand j'ai commencé à bosser, un salarié avait un métier et des compétences ; aujourd'hui, ces deux notions sont accaparées par l'entreprise elle-même : "Nous, entreprise Tartenpion, notre métier c'est..., notre compétence c'est..." Ce qu'il reste aux salariés : la performance et la motivation. De métier plus question, mais de fonction ou de job à la rigueur...

 

On est en train de se faire sucer jusqu'à l'os :rolleyes:

Ce discours me parle !

C'est arrivé à ma blonde pas plus tard que cet automne !

Elle avait des connaissances, un enfant dans ventre. Elle a transmit ses connaissances à une employée moins bien payé, elle est partie mettre un enfant au monde et s'occuper de lui une fois né.

Elle est revenue au travail 6 mois après avoir accouché, en arrêtant son allaitement naturel (à son grand regret). Elle à vérifier et corriger tout le travail qui avait été fait pendant son absence, elle à préparer les statistiques de l'année pour l'assemblée générale annuelle, puis le jeudi suivant à 16h30 (heure de fermeture des bureaux) elle s'est fait dire que ce n'était pas de revenir le vendredi.

Maintenant, une autre personne fait son travail pour 4 dollars de moins de l'heure.

Moralité, mon cher Phoenixuela & Ted Lapinus, je te crois et aussi, les enfants ne semblent pas très compatible avec le travail dans notre monde moderne.

Le syndicat a son rôle a joué. C'est clair qu'il y a des gens qui n'ont pas fais leur travail. Si elle n'étais pas syndiqué bien c'est probablement peine perdu.

Il y a beaucoup d'emplois syndiqués compatibles avec les congés de maternité.

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