Aller au contenu

Un Grandeur nature


risk2003AD

Messages recommandés

(1)

 

Mon ami m'invite à un grandeur nature.

En entrant dans la maison d'accueil, le préposé le reconnait.

Pour commencer la partie, il lui offre une cape rouge.

Comme d'habitude , dit mon ami.

Je regarde les dessins au mur derrière le préposé et lui

dit que je vais prendre la cape bleue.

Ce dernier me regarde d'un drôle d'air et me fait la remarque suivante :

Oui, tu m'en as l'air d'un bleu.

 

IL remet ensuite une épée de métal à mon ami et une épée de bois pour moi.

Un jouet.

IL m'avait parlé qu'on allait se battre; j'aurai aimé autre chose qu'un jouet.

 

Le préposé ouvre une lourde porte sur le côté et nous souhaite bonne chance.

On fait quelques pas dans un corridor sombre.

Mon ami se tourne vers moi et s'écrit : Tu n'as pas ta lampe torche.

Non, je n'ai pas ma lampe torche.

Je t'avais dit d'amener ta lampe torche.

Je l'ai oublié , O.K. on oublie ça.

Je vais te suivre.

 

On arrive à une intersection en T

Choisi, à gauche ou à droite.

Je n'en ai aucune idée, je ne sais même pas où l'on est, ni ce que l'on fait ici.

D'un haussement d'épaule, mon ami s'engage dans le corridor de droite.

Tout est toujours sombre, étroit et ça sent le renfermé.

IL y a même un clochard couché dans un coin.

Dès que l'on passe à sa hauteur , il se lève d'un bond.

Le vieil homme barbu nous dit=Vous ne pouvez pas continuer sans moi,

c'est moi qui ai les clefs de la grande herse.

Nous continuâmes notre chemin à trois quand tout-à-coup,

une bande d'orcs se rua sur nous.

Mais quand je dis orcs, je savais que c'était des hommes déguisés

mais je dois admettre que leur costume était beau.

Enfin , un combat , cria mon ami et il se jeta sur eux avec son épée.

 

Bon, puisque c'est comme cela. IL faut ce qui faut.

Je m'approche d'un orc et je lui donne un bon coup d'épée sur la tête.

AYOYE , c't'un fou, lui.

Mais , qu'est-ce que tu fais? dit mon ami.

Ben, je me bats.

T'as juste à les toucher un petit peu avec ton épée , pis ça va être correct.

Ben, fallait le dire.

Un des orcs dit qu'il allait se plaindre à son syndicat.

 

La bataille continue. Les orcs tombent mais il y en a d'autres qui arrivent , encore et encore.

Soudain , j'entends le bruit d'une chasse d'eau.

Une porte , que je n'avais pas remarqué, s'ouvre.

2 personnes sortent des toilettes et l'un d'eux dit à mon ami.

IL me semble que tu as besoin d'aide.

IL me semble aussi, un coup de main ne serai pas de refus.

À 5, nous parvenons aisément à chasser les orcs.

 

En s'enfuyant, les orcs ont laissé un sac.

IL n'y a que 2 objets dans le sac.

Une belle flèche doré que mon ami remets à celui qui a un arc.

Et une patte de corneille.

Qui la veut. Personne.

On était pour la laisser là , pis mon ami s'est ravisé et l'a ramassé.

 

Au fond du corridor, on ouvre une porte. La pièce est pleine de toile d'araignée.

Avant que l'on est le temps d'aller plus en avant ; le barbu nous crie :

IL faut sortir d'ici au plus vite.

Mais pourquoi ?

Vite, on sort.

On a , à peine , eu le temps de sortir , que le plafond s'est effondré.

La pièce est maintenant pleine de roche, de terre et de bois.

 

Bon, je crois qu'il faut revenir sur nos pas et prendre à gauche.

Notre aventure continua sur le chemin de gauche.

D'autre corridor, d'autres salles rempli d'orcs jusqu'à

ce que l'on arrive à une énorme pièce.

Au fond , un cercueil entouré à ses 4 coins , de vases de métal rempli de feu.

Le cercueil est protégé par une douzaine d'archer et une trentaine d'orcs et de gobelins.

Je dis à mes compagnons, je pense que l'on peut s'en retourner et les laisser tranquille.

IL n'en ai pas question, c'est pour cela qu'on est venu.

IL n'est pas question de partir. À L'ATTAQUE

 

Un énorme combat a lieu et une pluie de flèches s'abats sur nous.

J'en reçoit une demi douzaine à travers le corps.

IL me semblait qu'on faisait semblant.

Je ne saurai jamais la réponse.

Mes amis viennent à bout de toute l'armée orcs et gobelins.

ILs ouvrent le cerceuil et le Seigneur Squelette les attaque.

IL leur lance un sort de contrôle mental.

N'ayant aucune parade contre ce sort , ils deviennent tous

des zombies esclaves de leur nouveau maître.

 

 

 

(1)=Partie solo de Warhammer Quest

 

 

 

P.S. ce qui est frustrant dans Warhammer Quest, c'est que

tout peut bien se dérouler durant la quête et à la fin,

un dernier lancer de dés vient tout écrouler ce que l'on a fait.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouvais ça tellement bizare en le lisant! Je n'aurais jamais cru que ça aurait pu être aussi convaincant.

 

Ça ressemblait vraiment à de quoi d'un peu broche à foin organisé pour les plus passionnés, et en même temps, le plafond qui s'écroule semblait tellement immense et incroyable... J'ai vraiment imaginé l'Empereur en train de se promener dans un semblant de maison d'Halloween :lol:

 

Un beau texte qui en valait la peine, sinon juste pour m'avoir fait capoter quelques minutes!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...