Fictif Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 La problématique du livre au Québec? Voici la réalité. Trouvez l'erreur. Éditeur 30% Libraire 40% Distributeur 20% Auteur 10% Christian Tremblay @romanquebecois Avons nous une tel problématique au niveau du jeux de table. Bien sur que non, car un jeu québécois est éditer, distribuer, vendu par l'auteur. De ce fait l'auteur obtient 100%. Nos auteurs ludique québécois sont prolifique et obtiennent des profits qui leur permet de distribuer leur création au-delà de notre belle province. Tant que j'ai le jeu que je veux fait en Asie, éditer en Europe, distribuer dans l'Amérique, et acheter usagé. Il y a pas de problème. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
unity Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 eh boy que t'es dans le champ... je laisse les acteurs du milieu te répondre avec des chiffres en dur mais c'est loin de la réalité Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Comet Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 J'ai de la difficulté à saisir la question ou l'intention du message d'origine. Mais bon, oui, pour les livres, l'auteur fait 10% du prix de détail, le libraire 40%. Les 50% restants du prix de détail sont partagés entre le distributeur et l'éditeur. Je n'en connais pas les termes exacts. Ceci dit, si on s'arrête là, le portrait me semble bien limité pour comprendre ce marché. Au niveau des jeux, les % sont différents, surtout pour l'auteur, qui ira bien rarement chercher plus de 6% du prix de vente de l'éditeur. Comet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Romain Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 L'éditeur a combien par rapport au prix au détail? Entre 20-25%? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
quantaloup Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 ... et c'est donc évident qu'il est plus que temps d'abolir le Sénat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nEvErLoOz Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 Vous devez mettre le tout en perspective. La distribution des revenus tel que décrite plus haut est somme toute asser logique. L'auteur recevra 10% du prix de vente d'un jeu, par exemple pour chaque jeu vendu 50$, il obtiendra 5$. Mais il n'a pas de dépenses ou très peu, pas de perte, pas de déduction, pas de risque. C'est du tout brut! Alors que l'éditeur, par exemple, prend 30% oui (donc 15$ sur un jeu à 50$) mais assume tous les risques dont celui d'en produire XY et de rester pris avec Y si le jeu se vend mal + il y a l'entreposage à payer, le transport chez le distributeur, le bureau, les employés, etc. Toutes ces dépenses sont déduites du 15$. Le distributeur prend 20% mais à le transport à payer, la représentation, les vendeurs, les livreurs et de l'entreposage aussi. Si c'est pourcentage sont exactes, le mieux placés dans la chaine reste le libraire ou le détaillant, qui ne court pratiqument aucun risque, ou un risque minime, et qui se met 40% du 50$ en poche (20$). Tout de même, il a des dépenses non négligeables: le local, les employés, etc. Je penses que la répartition est assé juste. Comet a réagi à ceci 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Comet Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 L'éditeur a combien par rapport au prix au détail? Entre 20-25%? En fait, en dehors de l'auteur qui a un pourcentage "sans risque", il faut plutôt regarder la marge de profit de chacun des intervenants. Celle est boutiques est relativement stable selon les territoires. Il y a un pourcentage au Québec, un au Canada / USA, un en Europe... Celle des distributeurs varie beaucoup selon le contrat avec l'éditeur. C'est celle des éditeurs qui varie le plus. Pour ma part, sur certains jeux, je ne fais pas grand chose, alors que pour d'autres, je fais plus "que la moyenne". À la fin, ça s'équilibre. N'oublions pas que c'est l'éditeur qui a le plus grand risque financier, car il tire rarement à moins de 2000 exemplaires. Dans le jeu. Dans le livre, c'est 500 le minimum au Québec (pour avoir droit à ses subventions). Comet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
popmart Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 La beauté de Twitter et des médias d'aujourd'hui! On lance n'importe quel chiffres, sans aucune justification, puis quelques minutes plus tard on passe à autre chose! Ici on a lancé des pourcentages mais aucune mention des coûts donc aucune comparaison des profits. Bravo quantaloup a réagi à ceci 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Romain Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 Vous devez mettre le tout en perspective. La distribution des revenus tel que décrite plus haut est somme toute asser logique. L'auteur recevra 10% du prix de vente d'un jeu, par exemple pour chaque jeu vendu 50$, il obtiendra 5$. Mais il n'a pas de dépenses ou très peu, pas de perte, pas de déduction, pas de risque. C'est du tout brut! Alors que l'éditeur, par exemple, prend 30% oui (donc 15$ sur un jeu à 50$) mais assume tous les risques dont celui d'en produire XY et de rester pris avec Y si le jeu se vend mal + il y a l'entreposage à payer, le transport chez le distributeur, le bureau, les employés, etc. Toutes ces dépenses sont déduites du 15$. Le distributeur prend 20% mais à le transport à payer, la représentation, les vendeurs, les livreurs et de l'entreposage aussi. Si c'est pourcentage sont exactes, le mieux placés dans la chaine reste le libraire ou le détaillant, qui ne court pratiqument aucun risque, ou un risque minime, et qui se met 40% du 50$ en poche (20$). Tout de même, il a des dépenses non négligeables: le local, les employés, etc. Je penses que la répartition est assé juste. Attention les pourcentages du premier message de ce fil de discussion cités par fictif sont pour le marché du livre. Pour les jeux c'est différent. Comet parle que l'auteur reçoit 6% de ce que fait l'éditeur. Si l'éditeur fait 30% du prix de vente, il n'y a que 1,8% du prix de vente qui va à l'auteur. Pour reprendre l'exemple d'un jeu à 50$ : 15$ va à l'éditeur, mais il doit donner 0,90$ à l'auteur et une somme X au producteur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hydermen Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 Vous devez mettre le tout en perspective. La distribution des revenus tel que décrite plus haut est somme toute asser logique. L'auteur recevra 10% du prix de vente d'un jeu, par exemple pour chaque jeu vendu 50$, il obtiendra 5$. Mais il n'a pas de dépenses ou très peu, pas de perte, pas de déduction, pas de risque. C'est du tout brut! Alors que l'éditeur, par exemple, prend 30% oui (donc 15$ sur un jeu à 50$) mais assume tous les risques dont celui d'en produire XY et de rester pris avec Y si le jeu se vend mal + il y a l'entreposage à payer, le transport chez le distributeur, le bureau, les employés, etc. Toutes ces dépenses sont déduites du 15$. Le distributeur prend 20% mais à le transport à payer, la représentation, les vendeurs, les livreurs et de l'entreposage aussi. Si c'est pourcentage sont exactes, le mieux placés dans la chaine reste le libraire ou le détaillant, qui ne court pratiqument aucun risque, ou un risque minime, et qui se met 40% du 50$ en poche (20$). Tout de même, il a des dépenses non négligeables: le local, les employés, etc. Je penses que la répartition est assé juste. Attention les pourcentages du premier message de ce fil de discussion cités par fictif sont pour le marché du livre. Pour les jeux c'est différent. Comet parle que l'auteur reçoit 6% de ce que fait l'éditeur. Si l'éditeur fait 30% du prix de vente, il n'y a que 1,8% du prix de vente qui va à l'auteur. Pour reprendre l'exemple d'un jeu à 50$ : 15$ va à l'éditeur, mais il doit donner 0,90$ à l'auteur et une somme X au producteur. Wow de quoi s’enrichir !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fictif Posté(e) 22 août 2013 Auteur Share Posté(e) 22 août 2013 eh boy que t'es dans le champ... je laisse les acteurs du milieu te répondre avec des chiffres en dur mais c'est loin de la réalité Eh man, ta raison, suis plus que dans champs ...Merci de me le signalé. Bien comme tu dis laissons les experts nous présenté des chiffres de la réalité du jeux de table québécois. Pour ma part, c'est simple j'ai déboursé 20$ en matériel et impression, je l'ai vendu 40$ ... Ce qui fait que j'ai 20$ à partagé avec l'auteur , l'illustrateur, l'assembleur, l'entrepôt, le transport, etc... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
unity Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 eh boy que t'es dans le champ... je laisse les acteurs du milieu te répondre avec des chiffres en dur mais c'est loin de la réalité Eh man, ta raison, suis plus que dans champs ...Merci de me le signalé. Bien comme tu dis laissons les experts nous présenté des chiffres de la réalité du jeux de table québécois. Pour ma part, c'est simple j'ai déboursé 20$ en matériel et impression, je l'ai vendu 40$ ... Ce qui fait que j'ai 20$ à partagé avec l'auteur , l'illustrateur, l'assembleur, l'entrepôt, le transport, etc... bon, je ne m'étalerai pas ici sur la qualité de tes "jeux", mais je dirai que ton modèle est loin de la réalité des "vrais" jeux... bravo pour ton 100% de profit, ce n'est simplement pas applicable en marché Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nEvErLoOz Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 Attention les pourcentages du premier message de ce fil de discussion cités par fictif sont pour le marché du livre. Pour les jeux c'est différent. Comet parle que l'auteur reçoit 6% de ce que fait l'éditeur. Si l'éditeur fait 30% du prix de vente, il n'y a que 1,8% du prix de vente qui va à l'auteur. Pour reprendre l'exemple d'un jeu à 50$ : 15$ va à l'éditeur, mais il doit donner 0,90$ à l'auteur et une somme X au producteur. Ouais j'ai pris les pourcentage du post en exemple je n'ai pas dit que c'était la réalité. Je voulais juste faire réfléchir les gens sur le fait que parfois on à l'impression que l'auteur d'un livre, d'un jeu, l'inventeur d'un produit etc devrait avoir la plus grande partie des revenus générés alors que c'est lui qui prend le moins de risque et qui a le moins de dépenses associés. C'était pour donné un exemple, evidemment que les chiffres, et les pourcentages n'étaient pas exactes. Je ne connais rien aux marges reliés au domaine du jeu de société. J'admet que dans mon exemple j'ai perdu de vu qu'au débart les pourcentages étaient liés aux livres. Mais mon explication reste valable, faut adapter les chiffres et les pourcentage Fictif a réagi à ceci 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nEvErLoOz Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 eh boy que t'es dans le champ... je laisse les acteurs du milieu te répondre avec des chiffres en dur mais c'est loin de la réalité Eh man, ta raison, suis plus que dans champs ...Merci de me le signalé. Bien comme tu dis laissons les experts nous présenté des chiffres de la réalité du jeux de table québécois. Pour ma part, c'est simple j'ai déboursé 20$ en matériel et impression, je l'ai vendu 40$ ... Ce qui fait que j'ai 20$ à partagé avec l'auteur , l'illustrateur, l'assembleur, l'entrepôt, le transport, etc... Justement, au final il te reste pas 20$ puisque tu dois le partager avec tout le monde listé dans ton exemple. Le profit c'est ce qui reste dans tes poches une fois que tu as tout le monde et toutes les factures! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
popmart Posté(e) 22 août 2013 Share Posté(e) 22 août 2013 En fait si on regarde les chiffres pour le livre, et je suppose que ces pourcentage sont des pourcentages du prix final, je crois qu'on est pas loin de ces chiffres pour les jeux. C'est juste qu'avec ces chiffres on peut seulement évaluer la marge brute, avant les dépenses. Si je me souviens bien on a environ: 25% du prix final entre dans les coûts de fabrication 10% du prix final va à Editeur+Auteur = environ 40% de marge brute 25% du prix final va au Distributeur= environ 70% de marge brute40% du prix final va au Détaillant = environ 66% de marge brute Par exemple on dit que 35% du prix final revient à l'éditeur mais 25% sert à payer la production seulement. Il reste donc 10% du prix final à partager avec l'auteur et à réinvestir à développer/éditer le prochain jeu/livre. Le distributeur et le détaillant ont aussi des dépenses à payer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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