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Capitaine Grappin

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Messages posté(e)s par Capitaine Grappin

  1. J'imagine que tu parle des Thallusai, aussi appelées mantes religieuses de 8 pieds qui fittent pas dans le setting pour 2 guilders.

    Comme tout RPG, il faut en prendre et en laisser selon le type de campagne qu'on veut jouer.

    L'avantage du jeu de rôles est que le GM peut décider qu'un livre au complet n'est pas valide pour sa campagne, ou enlever telle école d'escrime pour des raisons d'équilibre.

    En plus dans le livre du maitre du jeu il y a un encadré spécialement conçu pour montrer aux joueurs pas contents d'un changement de règles à ce sujet. :)

    Ce que j'espère de la nouvelle édition est d'avoir des NPC majeurs mieux équilibrés, pas juste des demi-dieux.

  2. Descent 1 est plus immersif avec sa durée. Les héros et pouvoirs sont plus diversifiés, mais ça demande plus d'investissement de la part des joueurs et de l'overlord. Il est pratiquement impossible d'avoir exactement la même combinaison de personnages/compétences à chaque partie, certains combos sont plus forts que d'autres, mais un joueur habile saura tirer parti de chaque compétence. Le système de threat est très intéressant, l'Overlord peut accumuler pendant plusieurs tours pour investir dans une bonne carte, et la mort d'un joueur est plus significative que dans Descent 2.

    Descent 2 : J'ai joué 4 ou 5 scénarios de suite, ça se résumait toujours à : Une grosse bibitte bloque le corridor en empêche de passer. On tue un monstre, il réapparait à la sortie au prochain tour. Les règles sont simples au moins, mais je trouve l'expérience moins satisfaisante. Ça n'en fait pas un mauvais jeu.

  3. Ce principe de marketing est génial pour le grand public, mais un peu moins pour les connaisseurs que nous sommes.

    Ce n'est pas tout à fait exact. Si un jeu a une certaine qualité, ça va finir par se savoir dans la communauté des joueurs qui se tiennent informés.

     

    Il y a eu Monopoly Deal, Risk Legacy et Sorry Sliders par exemple qui ont réussi a créer un engouement chez les joueurs malgré le branding «populaire».

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