Hibou77

Jamais entendu parler de ce jeu... Où puis-je trouver les règles ?

Un excellent filler !

Plus bas prix au QC pour Bunny Kingdom VA : 40$ (Dice Owl à Montréal) Plus bas prix au QC pour Bunny Kingom VF : 60$ (j'ai trouvé une place à 55$, mais c'est la vieille édition avec le petit board) Avec les taxes, ça fait 46 vs 69, une différence de 23$. On parle ici du même publisher, de deux printruns effectuées toutes deux dans le même mois. Je veux ben croire que la printrun est moins grosse en français, mais même à ça, c'est de l'abus. Qu'on vienne pas me dire que c'est parce que ça coûte des miliers de dollars de changer le fichier d'impression des cartes d'une langue à l'autre quand tout le reste de la chaîne de production reste pareille. Dans ce cas ci, Iello fait du Edge... J'en viens à espérer que plus d'éditeurs optent pour des jeux multilingues. Dans Kingdom Bunny, on parle d'un livre de règles et d'une quarantaine de cartes parchemin (les autres cartes n'ont pas de texte). Si des jeux comme Kingdom Builder et même Ulm peuvent se permettre d'inclure des cartes en plusieurs langues, je pense bien que d'autres jeux beaucoup plus populaires pourraient également se le permettre. </rant>

J'ai contacté Iello France pour avoir des précisions pour ceux qui voudraient s'acheter la version française (comme moi). Bref, le nouveau plateau est aussi dans la nouvelle printrun de Bunny Kingdom en français. Comme les boîtes sont identiques à l'ancienne, il faut regarder sur la boîte près du codebar pour trouver le code de production. Les codes pour le gros board seront BKFR122017 pour la version française et BKEN122017 pour la version anglaise. La représentante m'a toutefois dit que la première partie des BKFR122017 avaient été shippé avec les petits boards, mais que si c'était notre cas, Iello pouvait nous faire parvenir le nouveau board gratuitement sur demande.

Ça fait 8 ans de plus que moi que t'es inscrit sur le forum et je vais jabber pour la première fois cette année. Donc, si tu n'y vas pas, ben ça va être, genre, la honte.

Et je vais me glisser dans sa valise de char. Et moi dans son porte-bagages sur le toit. Et DubeJeff dans le coffre à gants Yeah! Hibou j'espère que tu réalises la chance que t'as ?

Et je vais me glisser dans sa valise de char.

Ouan... Tokens de bois, minis, insert, exploits... Ok, je craque et je back ! (Mon premier jeu backé depuis Viceroy, c'est tout dire) 92$, c'est pas donné, surtout que je l'ai déjà. Mais au moins, je sais que je vais l'aimer et qu'il va rester dans ma collection pour longtemps vu que je ne connais aucun autre jeu dans le même genre. De plus, en revendant ma vieille copie, je vais sauver un peu sur le prix total.

Je crois que tout le monde peut avoir sa propre définition. Pour moi, c'est une déconnection entre le thème et les mécaniques. Pour toi ça signifie un jeu ennuyant et/ou linéaire. Pour d'autres ce sera cette impression de jouer sur une "spreadsheet". La définition du glossaire de BGG ? "Overly mechanical or lacking in thematic elements." Remarque que de mon point de vue, même si un jeu est dry, il peut être très bon quand même.

Un jeu où il y a une déconnection totale entre le thème et les mécaniques du jeu. Le genre de jeu qu'après quelques rounds les joueurs ne font plus référence à tel ou tel type de ressources, mais on parle seulement en terme de cubes rouges ou cubes verts...

Mon jeu le plus joué de tous les temps c'est les Échecs. Si on fait abstraction des fillers, mes jeux modernes les plus joués sont Dominion et Ascension. Et si on parle des jeux en ligne, j'en suis à plus de 50 parties de Through the Ages. Je crois que je peux compter sur une main (ou deux) les gros jeux de ma collection que j'ai joué plus de 5 fois. Je me dis que je garde ça pour ma retraite

À ce propos, Richard Garfield suggère de faire ce que faisaient les playtesters : chaque joueur compte ses propres points en mettant des chips de poker (ou autre) sur chacun de ses parchemins. Une fois que tout le monde a terminé, on ajuste la piste de score en conséquence. (les jetons sur les cartes permettent de revérifier en cas de doute).

1. Carpe Diem : Un Feld sans co-designer qui me donne les plus grands espoirs. En plus, la boîte est belle. 2. Coimbra : Du duo d'auteurs de Lorenzo il Magnifico et Egizia. Ça peut juste être bon ! 3. Bunny Kingdom : Pour les petits lapinots virils. 4. Transatlantic : Because Concordia. 5. Decrypto : Parce que j'aime les jeux dans le style de Codenames. 6. Merlin : Malgré les commentaires négatifs, je veux donner une chance à ce semi-Feld. 7. Minute Realms : Un petit filler qui a retenu mon attention. 8. Heaven & Ale : Parce que Kiesling a l'air en feu dernièrement ! 9. Wendake : Je n'ai encore rien lu/vu là-dessus à date, il est là à cause du buzz sur le forum. 10. Vegas Showdown : Un classique, i.e. une vieillerie que je veux essayer depuis longtemps.

En ce début d'année 2018, quels sont les 10 jeux que vous désirez le plus acquérir ou au minimum essayer ? P.S. On parle de jeux, pas d'extensions !

Apparemment, toutes les nouvelles copies depuis janvier et peut-être avant viennent avec le nouveau board. Malheureusement, il n'y a pas moyen de savoir quelle board on aura sans ouvrir la boîte. Les deux éditions ont des boîtes identiques. Je crois bien que le plus safe est de commander à une boutique où le jeu vient de revenir en stock... BGG en parle ici : https://boardgamegeek.com/thread/1947177/bigger-map-has-been-available-jan-2018-or-perhaps

Retrait des vendus et baisses de prix. Rendu à ces prix là (50% et +), j'achèterais moi-même ces jeux ! C'est ben juste parce que j'ai pu de place dans mes étagères...

J'ai Pulsar 2849 sur ma liste et avoir un avis supplémentaire serais bien. Pulsar 2849, c'est le meilleur nouveau jeu que j'ai joué à date en 2018. (Je l'ai mieux aimé que Rajas of the Gange et Santa Maria que j'ai aussi adorés, c'est tout dire). C'est un jeu de dice-drafting qui est pas mal salade de points. Plusieurs stratégies possibles. Énorme rejouabilité. Les tours coulent bien.

Ça dépend si le douanier trouve ça parmi tes jeux :

Tout le monde qui s'y connait un peu en anime sait que les mechs japonais devraient torcher n'importe quels autres mechs. Pas très thématique comme jeu... * Hibou77 se harakirise sur sa propre mine *

C'est quoi ça, Puerto Rico ? Est-ce que c'est un peu comme Monopoly ?

. Conclusion = ah ben merci, je viens de me créer 2 nouveaux besoins. J'ai déja Rajas, et Santa Maria c'est le même auteur que Automania que j'ai trouvé très moyen donc je vais passer. Attention de pas généraliser ! Tous les auteurs font du bon et du moins bon. Avant de faire Santa Maria, Kristian Amundsen Østby a aussi fait "Escape : The curse of the Temple" et "Mammut" qui ont été de gros bof pour moi. J'ai mieux aimé Automania. Mais là, Santa Maria, c'est une méchante coche au-dessus et très différent des précédents !

J'aime bien celui de Glen More qui est simple à comprendre et à utiliser. Par exemple, dans le marché représenté ci-dessous, on pourrait placer 3$ sur la troisième case de la track blanche pour acheter un cube blanc ou on pourrait donner un cube blanc pour prendre le 2$ sur la deuxième case. C'est un système fermé parce que même après X transactions, il n'y aura pas eu de création de nouvelles ressources ou de nouveau fonds.

Les deux sont excellents et se sont mérités un place permanente dans ma collection. Voici mon comparatif... Thème Rajas of the Gange évoque la splendeur de l'Inde avant qu'elle ne devienne la poubelle du monde. On développe sa province, on navigue le Gange et on quête des faveurs à la cour royale... Dans Santa Maria, on est de braves conquistadors partis voler l'or des tribus sauvages, déforestant la terre pour en extraire des ressources convoitées qui seront renvoyées en enrope et instaurant des monastères pour civiliser un peu les natifs qui en ont bien besoin. Bref, un thème qui donnera des boutons à ceux qui n'aimaient pas les esclaves de Five Tribes. Matériel Le board de Rajas est un peu busy, mais rien de trop grave. L'icônographie est efficace. Seul bémol, le pion du premier joueur est un espèce d'éléphant en carton qu'on doit bricoler. Et après test, il était tout le temps à se défaire si bien que je me suis résolu à sortir mon pot de colle. Le board de Santa Maria, lui, fait un peu cartoon, un peu comme Automania (du même auteur). Mais tout est très clair et lisible. Mécaniques Rajas est un jeu de worker placement où tu payes tes actions avec des dés. Santa Maria est un jeu de dice drafting. Lien avec le thème ? Vraiment aucun ! Dans l'un comme dans l'autre, on a aucune idée de ce que représente un dé ou sa couleur. Les deux jeux comportent l'acquisition de tuiles qu'on place pour se former un domaine. Dans Rajas, les tuiles produisent points et ressources au moment où elles sont placées, après ça, leur disposition n'a que peu d'influence sur la suite des choses. Dans Santa Maria, le placement des tuiles est primordial parce que les dés activeront toutes la bâtisses sur une rangée ou une colonne donnée. Rajas gagne des points pour sa condition de victoire originale. Tactique vs stratégie Rajas est un jeu très tactique parce que tout est disponible à tout le monde. Il est très difficile de prévoir l'état du plateau quand notre tour reviendra. Des emplacements seront occupés, les tuiles disponibles auront changé, la position des bateaux sur le Gange aussi. En conséquence, on fait du mieux qu'on peut avec la situation actuelle. La partie random du jeu se situe au niveau des dés qu'on roule lors de leur acquisition. Un mécanisme de karma permet de flipper un dé (1-6, 2-5, 3-4), mais pas vraiment moyen d'ajuster exactement la valeur d'un dé à une valeur exacte souhaitée. Les dés de faible valeur serviront à avancer sur le Gange, ceux de haute valeur à acheter des tuiles, les autres iront au palais ou serviront à être échangés contre de nouveaux dés. Santa Maria est beaucoup plus stratégique parce qu'on essaiera de se bâtir une colonie ayant les lignes les plus intéressantes à activer. Par exemple, on essaiera d'avoir une colonne permettant d'acquérir des ressources qui pourront être immédiatement converties en pts de victoire ou échangées contre une autre ressource. À moins de focuser sur une stratégie de shipping, beaucoup de points proviendront des objectifs de fin de partie. Analysis Paralysis Faible dans Rajas. Potentiellement forte dans Santa Maria (pour le placement de chaque tuile). Rejouabilité Santa Maria est le gagnant ici à cause des pouvoirs et des objectifs de fin de partie qui changent d'une game à l'autre. Le setup de Rajas sera aussi différent d'une partie à l'autre mais rien de majeur (ordre d'apparition des tuiles, cases spéciales sur le Gange). J'ai aimé... Rajas of the Gange est un jeu somme toute assez simple, presque familial. Il y a toujours quelque chose de bon de disponible à son tour. C'est de la points salad bien balancée. Santa Maria est un peu plus thinky et satisfaisant que Rajas. Comme la partie dure seulement 3 rounds, t'as vraiment l'impression que chaque décision est importante et c'est de la grosse optimisation sale. J'ai moins aimé... Dans la plupart des jeux de workers placement, acquérir des workers se fait à coup de dépenses supplémentaires. On doit calculer si on pourra utiliser un worker supplémentaire assez pour que ça vaille la peine. Dans Rajas, on part avec 3 workers et on peut en acquérir 3 autres rendu à certains points sur la track de fame, d'argent ou du Gange. Ils ne coûtent rien à unlocker. Avoir des tours avec un ou deux workers de plus ou de moins que les autres, ça parait vraiment. Ça force un peu tous les joueurs à focuser sur toutes les tracks une après l'autre jusqu'à avoir tous ces workers plutôt que d'offrir la possibilité de se monter une machine à fame ou à cash en négligeant l'autre track. Dans Santa Maria, la stratégie de shipping semble être la plus facile à executer puisqu'elle ne demande pas de placement complexe de tuiles colonie. Un des problème que j'ai remarqué dans ma partie, c'est que les tuiles bateau offrent un certain nombre de points en fin de partie en fonction du nombre de ressource que demandent chaqu'une d'elles. Jusque là, tout va bien. Cependant, à la fin de chaque round, chaque tuile produira également une ressource quelconque (argent, religion, conquistador, happiness) et ça peu importe son coût. Ça fait en sorte qu'une tuile acquise au premier round donnera des bonus 3 fois en cours de partie. Donc, en début de partie, tout le monde se pitche sur les tuiles à bas coût pour se remplir et à la fin de la partie, on achète davantage les tuiles à points. Comme il y a seulement 4 tuiles de disponible en tout temps, si tu joues tard dans le tour au premier round, il y a beaucoup de chance que les tuiles les plus cheap soient disparues et que tu doives payer le double de ressource pour avoir une seule tuile. Cette tuile en moins que t'auras eu comparativement aux autres joueurs, ben ça te fait un déficit de 3 ressources en fin de partie, ce qui est énorme pour ce qui est de l'engine building. L'auteur dit que le playtesting a montré que des stratégies basés sur le développement de la colonie ou la track de religion étaient aussi valables, mais de l'avis général, elles demandent une planification beaucoup plus poussée pour être efficaces. Conclusion Pas le choix, faut acheter les deux.

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Bon prix pour Bora Bora vu que le shipping est gratuit ! Par contre, pour Bunny Kingdom, ça vaut la peine de comparer vu qu'il est 42$ à GreatBoardGames et 40$ chez Dice Owl à Montréal. Bunny Kingdom me tente beaucoup, mais je remarque qu'il est entré simultanément en "sale" à plusieurs endroits sur le web. Je me demande s'il n'y a pas une nouvelle édition qui s'en vient bientôt avec un plus grand plateau (chose à laquelle Iello avait confirmé s'intéresser). Peut-être que les distributeurs en ont eu vent et recommandent aux détaillants d'écouler leur stuff pour pas rester pogné avec ?