Hibou77

Si vous avez aimé Blitzkrieg, vous voudrez probablement garder un oeil sur le prochain de Paolo Mori qui sort d'ici la fin de l'année : Caesar.
 

 
Pour faire un petit survol rapide, le jeu reprend la mécanique de Chit-pulling de Blitzkrieg  : chaque joueur pige des jetons de son sac et en place un par tour sur la carte de l'Empire Romain.  Le truc original est la manière dont le contrôle des territoires est déterminé.  Chaque jeton est divisé en deux sections avec chacune une valeur.  Le joueur place son jeton sur la frontière entre deux territoires de manière à assigner une valeur aux deux territoires adjacents.  Le joueur qui place le dernier jeton autour d'un territoire gagne un petit bonus/pouvoir et le joueur ayant la plus grande force totale dans le territoire en prend le contrôle.
 
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C'est un jeu conçu pour deux joueurs, mais il y a aussi un mode solo de Turczi (qui d'autre) et il comprend 3 mini-extensions.
 
Les règles sont déjà sur BGG : https://www.boardgamegeek.com/boardgame/338957/caesar-seize-rome-20-minutes
 
Et j'ai lu que le jeu était aussi disponible à l'essai sur Tabletopia (si c'est votre tasse de thé)
 

 
(Ok Paolo, j'attends mon chèque !)
 

Là tu sembles mélanger ton expérience personnelle avec le jeu et la règle 😉

Endangered : Ce couple d'otaries va mourir... Meh, je vais aller ramasser du cash pour soudoyer le Mexique.
Je pense qu'il y a un jeu de «sauvetage d'esclave» qui est comme ça aussi - impossible de sauver tout le monde si tu veux «gagner». 
 
Annihilageddon 2 - Xtreme nacho legends ! :  Je ne suis pas du genre à aimer quelque chose dont la qualité principale est son «edginess», mais j'ai vraiment passé proche de back le kickstarter, ça aide que j'aime beaucoup les illustrations. 
 
Viral : Jamais joué, mais chaque joueur est un virus en tu fais des points en infectant différentes parties du corps si je me souviens bien... toujours été attiré par le thème et les illustrations. 
 
J'ai commencé à écouter La Casa del papel dernièrement, ça m'a donné envie de jouer à un co-op de braquage de banques où la gestion des otages a un rôle important. Selon mes recherches, il n'y aurait pas de jeu comme ça... Je me suis dit que l'idée de «gérer» des otages dans un jeu était peut-être trop de mauvais goûts. Après faut juste que ça soit bien fait... Je suis entrain de me trouver un projet on dirait. 
 
C'est paradoxal ce qui me choque je trouve; j'ai l'impression que je suis plutôt insensible aux thèmes «sombre», mais en même temps j'hais quand les personnages féminins (ou masculins) sont hyper-sexualisées. Je jouerais facile à un jeu ou je dois faire détruire une ville, mais pas à un jeu où je dois frapper des gens en voiture. 

Le politiquement incorrect me fait souvent rire, je m'assume.  Par contre, c'est rarement le thème tel quel qui me fait rire, mais plus le table-talk qui vient avec.
 
Auberge sanglante : "Non, monsieur le gendarme, ce n'est pas un cadavre, c'est mon épouvantail qui est tombé.  Ce macchabée dans l'armoire ?  Oh, c'était là quand j'ai acheté l'auberge ! etc."
Le testament du duc de Crécy : le choix entre la mère et l'enfant n'est pas particulièrement drôle, sauf quand on justifie thématiquement notre choix par après (joke de bébé laid ou de mariage arrangé qui prend fin pour le plus grand bonheur du veuf).
London : Se débarasser des pauvres ?  C'est pas très sadique dans ce jeu vu qu'on élimine la pauvreté en construisant des trucs.  Cependant, c'est sûr que si pour toi, la construction d'un égoût élimine la pauvreté parce que tu pitches les pauvres dedans, alors là, oui, je trouverais l'image drôle !
Guillotine : Un thème très glauque qui passe plutôt bien grâce aux dessins légers.  Pas trop l'occassion d'y jouer vu que le jeu lui-même est plutôt plate.
 
J'ajouterais quelques autres jeux qui se prêtent bien à de l'humour sombre : 
 
L'Osti d'jeu : Ça pour moi, c'est un jeu politically incorrect parce qu'il te force à l'être.  J'ai toujours trouvé que les meilleures combinaisons sont celles qui ne sont pas apparentes au premier coup d'oeil.  Quand tu ne vois pas le lien à moins de commencer à penser vraiment vraiment croche (style 3e degré), c'est là que les meilleures sortent.
Luna : C'en est un autre avec un running gag qui tourne autour des workers (disciples) qui finissent leur dure journée dans la mer.  D'habitude c'est pas trop long que les stéréotypes sur les écclésiastiques et/ou les saunas gais font surface.
Stone Age : Et sa hutte de reproduction.  'nuff said.
Village : Assigner un emploi à un vieux travailleur pour un seul tour avant de le faire mourir.  C'est surprenamment facile d'imaginer une mort amusante peu importe l'endroit où il était, sans compter les tropes à la "il était à une journée de la retraite !".
Revolution of 1828 : Le jeu tourne beaucoup autour des "smear campaign" historiques qu'il y a eu entre les candidats (maîtresses, corruption, etc).  On ne se gêne pas pour sortir les pires affaires.

Avant hier, deuxième partie de Terraforming Mars: Ares Expedition. Un peu moins long cette fois, à 2h15 pour la partie complète (setup et scoring) avec quelques petits arrêts lors de la partie ce qui a brisé un peu le flow, donc je suppose que la partie aurait durée 2h00 sans cela. On a jouer avec la variante Race for the Galaxy, modifié un peu, dans le sens que chaque joueur pouvait jouer deux cartes de phase à chaque tour, mais sans avoir deux set de carte de phase (donc pas de double action possibles). Et sans la règle de TM:AE ou on ne peux pas jouer la dernière phase jouer. J'ai pas mal plus aimé ainsi, même si le temps n'est pas encore très court, mais on ne joue pas encore 100% simultané, car ma conjointe n'est pas toujours certaine de ces actions, donc je vérifie ses tours encore. Avec les tours aps mal toujours simultané, je crois qu'on va réussir à avoir des partie à seulement 1h30 peut-être 9ce qui est loin du 45-60 minutes écrit sur la boite), mais je trouve que cela fait qu'on ne connait pas vraiment les engins de tes adversaire ce qui en fait un jeu très multiplayer solitaire selon moi. En plus à la quantité de carte que chacun possède devant eux, c'est difficile de vraiment savoir ce que les autres font. De mon côté, que le jeu soit multiplayer solitaire ne me dérange pas trop, mais je pense que cela ne sera aps apprécier par d'autre. Bref, c'est un bon jeu, mais je me laisse encore quelques parties pour le noté convenablement, mais pour le moment, c'est un 8/10.

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Nope 

Belfort ?

Mon opinion est la suivante:
 
Appellation deluxe: fine. C'est vrai qu'il y a plus de stock et que la version de base est moins "belle".
 
Appellation master set: okay là c'est vraiment pas honnête. Y a jamais eu de stuff ajouté au jeu de base avant. Les nouveaux modules ça existait passe avant.. Jtrouve ça vraiment douteux comme choix.
 
Anyway j'ai le jeu de base que j'ai sorti une fois j'ai vraiment pas besoin de plus de règles à un jeu déjà borderline côté fiddliness. Hard pass pour moi! 

C'est évidemment le fameux After Pablo

Mais efficace

C'est évidemment le fameux After Pablo

Le chercheux professionnels te visait particulièrement et bam tu trouves! 😂

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Moi selon le prix et les ajouts, je vais p-e me laisser tenter car c'est un jeu que j'ai toujours regarder sans jamais me laisser tenter pour l'acheter. 

Excellent jeu.
Que je n’ai pas toutefois...
il était en effet bien laid...

Très bon jeu, mais que j'ai revendu je ne sais plus trop pourquoi. 
 
Comme tu dis Hibou, les extensions modulaires restent dans la boîte la plupart du temps  

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Une nouvelle édition plus jolie avec des modules supplémentaires créés avec d'autres designers.  Même si ma première édition souffre d'une production artistique que ne renierait pas Friedemann Friese, je vais probablement passer mon tour.  J'essaie d'éviter les extensions à modules, ça fait trop de règles à relire chaque fois que le jeu ressort.
 
 

Le politiquement incorrect me fait souvent rire, je m'assume.  Par contre, c'est rarement le thème tel quel qui me fait rire, mais plus le table-talk qui vient avec.
 
Auberge sanglante : "Non, monsieur le gendarme, ce n'est pas un cadavre, c'est mon épouvantail qui est tombé.  Ce macchabée dans l'armoire ?  Oh, c'était là quand j'ai acheté l'auberge ! etc."
Le testament du duc de Crécy : le choix entre la mère et l'enfant n'est pas particulièrement drôle, sauf quand on justifie thématiquement notre choix par après (joke de bébé laid ou de mariage arrangé qui prend fin pour le plus grand bonheur du veuf).
London : Se débarasser des pauvres ?  C'est pas très sadique dans ce jeu vu qu'on élimine la pauvreté en construisant des trucs.  Cependant, c'est sûr que si pour toi, la construction d'un égoût élimine la pauvreté parce que tu pitches les pauvres dedans, alors là, oui, je trouverais l'image drôle !
Guillotine : Un thème très glauque qui passe plutôt bien grâce aux dessins légers.  Pas trop l'occassion d'y jouer vu que le jeu lui-même est plutôt plate.
 
J'ajouterais quelques autres jeux qui se prêtent bien à de l'humour sombre : 
 
L'Osti d'jeu : Ça pour moi, c'est un jeu politically incorrect parce qu'il te force à l'être.  J'ai toujours trouvé que les meilleures combinaisons sont celles qui ne sont pas apparentes au premier coup d'oeil.  Quand tu ne vois pas le lien à moins de commencer à penser vraiment vraiment croche (style 3e degré), c'est là que les meilleures sortent.
Luna : C'en est un autre avec un running gag qui tourne autour des workers (disciples) qui finissent leur dure journée dans la mer.  D'habitude c'est pas trop long que les stéréotypes sur les écclésiastiques et/ou les saunas gais font surface.
Stone Age : Et sa hutte de reproduction.  'nuff said.
Village : Assigner un emploi à un vieux travailleur pour un seul tour avant de le faire mourir.  C'est surprenamment facile d'imaginer une mort amusante peu importe l'endroit où il était, sans compter les tropes à la "il était à une journée de la retraite !".
Revolution of 1828 : Le jeu tourne beaucoup autour des "smear campaign" historiques qu'il y a eu entre les candidats (maîtresses, corruption, etc).  On ne se gêne pas pour sortir les pires affaires.

Si tu es sur un ordi, tu peux mettre ta souris au-dessus de l'avatar du membre et tu devrais voir apparaître un popup avec un bouton "Message" en bas à gauche de ce dernier.  Sinon, tu peux cliquer sur l'avatar lui-même pour aller à la page profil du membre et il y a un bouton "Message" dans l'entête du profil.

Batavia.

Le politiquement incorrect me fait souvent rire, je m'assume.  Par contre, c'est rarement le thème tel quel qui me fait rire, mais plus le table-talk qui vient avec.
 
Auberge sanglante : "Non, monsieur le gendarme, ce n'est pas un cadavre, c'est mon épouvantail qui est tombé.  Ce macchabée dans l'armoire ?  Oh, c'était là quand j'ai acheté l'auberge ! etc."
Le testament du duc de Crécy : le choix entre la mère et l'enfant n'est pas particulièrement drôle, sauf quand on justifie thématiquement notre choix par après (joke de bébé laid ou de mariage arrangé qui prend fin pour le plus grand bonheur du veuf).
London : Se débarasser des pauvres ?  C'est pas très sadique dans ce jeu vu qu'on élimine la pauvreté en construisant des trucs.  Cependant, c'est sûr que si pour toi, la construction d'un égoût élimine la pauvreté parce que tu pitches les pauvres dedans, alors là, oui, je trouverais l'image drôle !
Guillotine : Un thème très glauque qui passe plutôt bien grâce aux dessins légers.  Pas trop l'occassion d'y jouer vu que le jeu lui-même est plutôt plate.
 
J'ajouterais quelques autres jeux qui se prêtent bien à de l'humour sombre : 
 
L'Osti d'jeu : Ça pour moi, c'est un jeu politically incorrect parce qu'il te force à l'être.  J'ai toujours trouvé que les meilleures combinaisons sont celles qui ne sont pas apparentes au premier coup d'oeil.  Quand tu ne vois pas le lien à moins de commencer à penser vraiment vraiment croche (style 3e degré), c'est là que les meilleures sortent.
Luna : C'en est un autre avec un running gag qui tourne autour des workers (disciples) qui finissent leur dure journée dans la mer.  D'habitude c'est pas trop long que les stéréotypes sur les écclésiastiques et/ou les saunas gais font surface.
Stone Age : Et sa hutte de reproduction.  'nuff said.
Village : Assigner un emploi à un vieux travailleur pour un seul tour avant de le faire mourir.  C'est surprenamment facile d'imaginer une mort amusante peu importe l'endroit où il était, sans compter les tropes à la "il était à une journée de la retraite !".
Revolution of 1828 : Le jeu tourne beaucoup autour des "smear campaign" historiques qu'il y a eu entre les candidats (maîtresses, corruption, etc).  On ne se gêne pas pour sortir les pires affaires.