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Age of Steam


jarjar26

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Bon, bon, bon. Voici ce que moi j'ai lu du conflit, et encore là, certaines de ces affirmations ne sont pas vérifiés à ce jour:

 

1. Wallace et Bohrer/Winsome on travaillés ensemble au développement de AoS. Wallace en tant que designer et Bohrer/Winsome en tant que développer/éditeur.

 

2. Winsome a sorti quelques protos en 2001 mais au moment de l'édition, le jeu est "licenced to Warfrog". Pour des raisons de logistique selon Bohrer, pour faire une "faveur" à Mr Bohrer selon Wallace. On est en fin 2001, début 2002.

 

3. En 2007, Mayfair et Wallace annoncent qu'ils vont ré-éditer AoS. Bohrer n'ayant pas été consulté pour cette nouvelle édition mentionne que les droits originaux appartiennent à Winsome puisque le jeu, bien qu'un design de Wallace, a été développé entièrement par Winsome. Warfrog/Wallace n'avaient qu'une licence pour le publier. Selon Bohrer, la nouvelle édition ne pourra donc inclure aucun des ajouts faits lors du développement de l'édition originale.

 

4. Wallace enregistre un copyright sur "Age of Steam", Bohrer conteste le copyright.

 

5. Combat de titans, campagnes de salissages des deux côtés, contestations en cour, Wallace concède la victoire en cour à Bohrer.

 

6. Wallace va donc publier Steam chez Mayfair mais ça sera nécessairement différent de Age of Steam (mais compatible avec les cartes de AoS). Les composantes pourront aussi servir pour jouer avec les règles d'AoS originale pour peu que vous ayez accès aux dites règles.

 

7. Bohrer va quant à lui ré-éditer AoS chez FRED/Eagle Games avec les mêmes règles, de plus belles composantes avec en bonus la carte Barbados/St.Lucia de Ted Alspach.

 

 

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Il y a toujours deux côtés à un conflit, mais ils ne se partagent pas toujours les torts également.

+ 1000 000 sur celle-ci!! Quel que soit le conflit!

En fait, l'argument "il y a toujours deux côté à un conflit" est une invitation à faire attention et à écouter ce que tout le monde a à dire. Malheureusement, on l'utilise souvent pour expliquer qu'on refuse de prendre position. Cependant, lorsqu'on a écouté tout le monde, on devrait encourager les gens à prendre position -- surtout lorsque les gens sont des acteurs dans ce conflit. Ce qui est notre cas dans le conflit Bohrer/Wallace. Nous sommes des consommateurs: notre argent ira a l'un ou à l'autre -- ou à personne. Nous sommes aussi en quelque sorte des porte-paroles du jeu. Si Christian et Pierre recommandent Age of Steam à Christiane Charette, FRED et Bohrer en vendront une tonne de copies...

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1. Wallace et Bohrer/Winsome on travaillés ensemble au développement de AoS. Wallace en tant que designer et Bohrer/Winsome en tant que développer/éditeur.

 

Je veux juste mettre un peu plus d'emphase là-dessus. Wallace est le designer. Oui, le développement est important -- tous les meilleurs éditeurs font du développement. Chez Alea, Stefan Bruck fait un travail de titan. Chez Ystari, l'équipe de Cyril calibre chaque jeu au quart de tour. Mais jamais ces éditeurs n'ont évoqué leur travail de développement pour s'accaparer les droits exclusifs d'un jeu. L'éditeur garde les droits d'un jeu tant qu'il le publie. S'il ne le réédite pas ou s'il ne verse plus de redevances, après un certain temps, les droits reviennent à l'auteur qui peut faire ce qu'il veut avec.

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2. Winsome a sorti quelques protos en 2001 mais au moment de l'édition, le jeu est "licenced to Warfrog". Pour des raisons de logistique selon Bohrer, pour faire une "faveur" à Mr Bohrer selon Wallace. On est en fin 2001, début 2002.

 

Tu veux dire Winsome, l'entreprise de Bohrer, non?

 

3. En 2007, Mayfair et Wallace annoncent qu'ils vont ré-éditer AoS. Bohrer n'ayant pas été consulté pour cette nouvelle édition mentionne que les droits originaux appartiennent à Winsome puisque le jeu, bien qu'un design de Wallace, a été développé entièrement par Winsome. Warfrog/Wallace n'avaient qu'une licence pour le publier. Selon Bohrer, la nouvelle édition ne pourra donc inclure aucun des ajouts faits lors du développement de l'édition originale.

 

J'ai déniché cette discussion sur BGG, datant d'octobre 2006.

Bohrer annonce la réédition de AoS plus belle, chez un autre éditeur, pour Spiel 08 (alors elle sortira presque à temps, pour des prévisions datant de 2 ans plus tôt). Wallace se fâche car il n'a pas été consulté, Bohrer dit qu'il détient les droits et puisque Warfrog ne fait plus de jeux, il a décidé de rééditer AoS lui-même.

 

On connaît la suite, mais d'après moi il y avait eu un froid entre les deux avant cette décision.

 

Cependant, lorsqu'on a écouté tout le monde, on devrait encourager les gens à prendre position -- surtout lorsque les gens sont des acteurs dans ce conflit. Ce qui est notre cas dans le conflit Bohrer/Wallace. Nous sommes des consommateurs: notre argent ira a l'un ou à l'autre -- ou à personne.

 

La plupart d'entre nous se fiche pas mal de l'éditeur lorsqu'on achète un jeu. La question de base qu'on se pose : est-ce un jeu que je veux, que j'aime ou que je risque d'aimer? C'est ce qui nous fait décider d'acheter ou non.

 

J'ai toujours trouvé AoS moche et très cher. Une nouvelle édition beaucoup plus élégante et possiblement moins chère va bientôt voir le jour. Si je me décide à l'acheter, le drame en arrière-plan n'influera absolument pas sur ma décision, je n'ai aucun parti pris et pour moi, ce ne sont finalement que des noms de gens que je ne rencontrerai jamais et avec qui je ne communiquerai jamais, donc une notion assez abstraite. Si je veux y jouer, je vais jouer à Age of Steam, pas à un jeu quelconque de monsieur Wallace ou de monsieur Bohrer.

 

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La plupart d'entre nous se fiche pas mal de l'éditeur lorsqu'on achète un jeu. La question de base qu'on se pose : est-ce un jeu que je veux, que j'aime ou que je risque d'aimer? C'est ce qui nous fait décider d'acheter ou non.

 

Tu fais ce que tu veux. Mais si la plupart d'entre nous se fichait réellement de l'éthique des éditeurs, la contrefaçon monterait en flèche et aurait rapidement raison de notre hobby, les auteurs ne trouvant plus d'intérêt à faire des jeux. Notre hobby fonctionne en partie parce qu'un assez grand pourcentage des consommateurs s'informe et considère la feuille de route des éditeurs avant d'acheter.

 

 

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1. Wallace et Bohrer/Winsome on travaillés ensemble au développement de AoS. Wallace en tant que designer et Bohrer/Winsome en tant que développer/éditeur.

 

Je veux juste mettre un peu plus d'emphase là-dessus. Wallace est le designer. Oui, le développement est important -- tous les meilleurs éditeurs font du développement. Chez Alea, Stefan Bruck fait un travail de titan. Chez Ystari, l'équipe de Cyril calibre chaque jeu au quart de tour. Mais jamais ces éditeurs n'ont évoqué leur travail de développement pour s'accaparer les droits exclusifs d'un jeu. L'éditeur garde les droits d'un jeu tant qu'il le publie. S'il ne le réédite pas ou s'il ne verse plus de redevances, après un certain temps, les droits reviennent à l'auteur qui peut faire ce qu'il veut avec.

 

Est-ce que tu crois que Filosofia a approché seulement Karsten Hartwig pour publier une nouvelle édition de Chinatown? Alea ne le publiait plus depuis un bout et n'avait pas l'intention de le ré-éditer. Je ne prétends pas avoir de réponse à ce sujet mais je suppose que Filosofia en a au moins parlé avec Alea.

 

De toute façon, on ne parle même pas ici d'un litige sur la propriété du jeu en soi. Le litige portait seulement sur le nom "Age of Steam".

 

Ce que je comprends du litige ici c'est que Martin Wallace a approché Mayfair et a voulu ré-éditer son jeu mais avec quelques "améliorations", sans consulter John Bohrer/Winsome. En apprenant ça, John Bohrer s'est insurgé contre le fait que le nom "Age of Steam" soit utilisé dans ce cas, compromettant ainsi toute possibilité pour lui de ré-éditer AoS avec les même règles. Alors Martin Wallace a tenté d'enregistrer un copyright sur le nom "Age of Steam", ce qui lui a finalement été refusé en cour. Si je dois prendre parti ici, je prends celui de Mr Bohrer. Mon point de vue c'est que Wallace a tenté par toutes sortes de stratagèmes de contourner Bohrer/Winsome pour pouvoir réutiliser le label "Age of Steam". Quand ça n'a pas fonctionné, il a tenté le jeu de l'opinion publique en jouant le martyre. Je trouve néanmoins déplorable que Mr.Bohrer ait continué a attiser le feu après sa victoire en cour. Je déteste les mauvais gagnants autant que les mauvais perdants.

 

C'est mon point de vue et je le respecte.

 

Ceci dit, je respecte le point de vue des autres aussi :D

 

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J'ai déniché cette discussion sur BGG, datant d'octobre 2006.

Bohrer annonce la réédition de AoS plus belle, chez un autre éditeur, pour Spiel 08 (alors elle sortira presque à temps, pour des prévisions datant de 2 ans plus tôt). Wallace se fâche car il n'a pas été consulté, Bohrer dit qu'il détient les droits et puisque Warfrog ne fait plus de jeux, il a décidé de rééditer AoS lui-même.

 

Ah tiens, j'avais maqué cet épisode. Dans de cas je ne prends parti pour aucun des deux. Ça a vraiment l'air d'un soap :laughingdude .

 

 

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La plupart d'entre nous se fiche pas mal de l'éditeur lorsqu'on achète un jeu. La question de base qu'on se pose : est-ce un jeu que je veux, que j'aime ou que je risque d'aimer? C'est ce qui nous fait décider d'acheter ou non.

 

Pas moi.

 

Je sais que j'aimerais Age of Steam mais je vais plutôt acheter Steam. L'attitude de Mr Bohrer sur les forums est tellement antipatique et hautaine qu'il est impossible pour moi de penser le supporter. Aucun jeux lui rapportant des $$$ n'entrera chez moi(en plus, on pourrait dire qu'il sait que son nom est entaché quand on le voit utiliser le pseudonyme Harry Wu pour ses jeux.)

 

Je sais que je passe à côté de certains bons jeux, mais c'est mon choix.

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1. Wallace et Bohrer/Winsome on travaillés ensemble au développement de AoS. Wallace en tant que designer et Bohrer/Winsome en tant que développer/éditeur.

 

Je veux juste mettre un peu plus d'emphase là-dessus. Wallace est le designer. Oui, le développement est important -- tous les meilleurs éditeurs font du développement. Chez Alea, Stefan Bruck fait un travail de titan. Chez Ystari, l'équipe de Cyril calibre chaque jeu au quart de tour. Mais jamais ces éditeurs n'ont évoqué leur travail de développement pour s'accaparer les droits exclusifs d'un jeu. L'éditeur garde les droits d'un jeu tant qu'il le publie. S'il ne le réédite pas ou s'il ne verse plus de redevances, après un certain temps, les droits reviennent à l'auteur qui peut faire ce qu'il veut avec.

 

Est-ce que tu crois que Filosofia a approché seulement Karsten Hartwig pour publier une nouvelle édition de Chinatown? Alea ne le publiait plus depuis un bout et n'avait pas l'intention de le ré-éditer. Je ne prétends pas avoir de réponse à ce sujet mais je suppose que Filosofia en a au moins parlé avec Alea.

 

Elle l'a probablement fait, pour garder de bonnes relations. Hartwig a probablement aussi demandé à Alea s'ils avaient l'intention de le rééditer. Tout ce beau monde s'est entendu. Mais je suis presque certain qu'Alea n'a pas de redevances sur l'édition Filosofia et Hartwig en a. C'est exactement le contraire du scénario Bohrer/Wallace.

 

Ce que je comprends du litige ici c'est que Martin Wallace a approché Mayfair et a voulu ré-éditer son jeu mais avec quelques "améliorations", sans consulter John Bohrer/Winsome. En apprenant ça, John Bohrer s'est insurgé contre le fait que le nom "Age of Steam" soit utilisé dans ce cas, compromettant ainsi toute possibilité pour lui de ré-éditer AoS avec les même règles.

 

Si Wallace avait les droits sur AoS -- ce qui aurait du être le cas avec un contrat standard -- alors John Bohrer n'avait absolument pas la légitimité pour rééditer le jeu. Légalement il peut le faire, la contrefaçon n'est pas sanctionnée dans le jeu de société.

 

Alors Martin Wallace a tenté d'enregistrer un copyright sur le nom "Age of Steam", ce qui lui a finalement été refusé en cour. Si je dois prendre parti ici, je prends celui de Mr Bohrer. Mon point de vue c'est que Wallace a tenté par toutes sortes de stratagèmes de contourner Bohrer/Winsome pour pouvoir réutiliser le label "Age of Steam". Quand ça n'a pas fonctionné, il a tenté le jeu de l'opinion publique en jouant le martyre. Je trouve néanmoins déplorable que Mr.Bohrer ait continué a attiser le feu après sa victoire en cour. Je déteste les mauvais gagnants autant que les mauvais perdants.

 

C'est bon, j'ai compris que tu préférais l'approche Bohrer. Libre à toi. Moi je défend les auteurs. Et je défend leur droit -- et unique recours -- de prendre la parole publiquement pour dénoncer certaines pratiques. Du même coup, je souligne que je trouve déplorable ceux qui reprochent aux gens de prendre la parole en les accusant de jouer les martyres.

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Est-ce que tu crois que Filosofia a approché seulement Karsten Hartwig pour publier une nouvelle édition de Chinatown? Alea ne le publiait plus depuis un bout et n'avait pas l'intention de le ré-éditer. Je ne prétends pas avoir de réponse à ce sujet mais je suppose que Filosofia en a au moins parlé avec Alea.

 

Comme Z-Man publie maintenant la version anglaise, je crois que les droits d'Alea étaient tout simplement expiré.

 

De toute façon, on ne parle même pas ici d'un litige sur la propriété du jeu en soi. Le litige portait seulement sur le nom "Age of Steam".

 

Ce que je comprends du litige ici c'est que Martin Wallace a approché Mayfair et a voulu ré-éditer son jeu mais avec quelques "améliorations", sans consulter John Bohrer/Winsome. En apprenant ça, John Bohrer s'est insurgé contre le fait que le nom "Age of Steam" soit utilisé dans ce cas, compromettant ainsi toute possibilité pour lui de ré-éditer AoS avec les même règles. Alors Martin Wallace a tenté d'enregistrer un copyright sur le nom "Age of Steam", ce qui lui a finalement été refusé en cour. Si je dois prendre parti ici, je prends celui de Mr Bohrer. Mon point de vue c'est que Wallace a tenté par toutes sortes de stratagèmes de contourner Bohrer/Winsome pour pouvoir réutiliser le label "Age of Steam". Quand ça n'a pas fonctionné, il a tenté le jeu de l'opinion publique en jouant le martyre. Je trouve néanmoins déplorable que Mr.Bohrer ait continué a attiser le feu après sa victoire en cour. Je déteste les mauvais gagnants autant que les mauvais perdants.

 

C'est mon point de vue et je le respecte.

 

Ceci dit, je respecte le point de vue des autres aussi :D

 

En fait, la raison majeure que Wallace ne pouvait plus mettre un sur Age of Steam était la plénitude d'extensions qui utilisait le nom Age of Steam également et cela causait des mots de têtes au niveau juridique. Il n'a pas "perdu" en cour, il a simplement décidé que la bataille, qui s'annoncait très très longue, n'en valait pas la peine car cela retarderait la sortie de Steam(AoS 3rd edition) et il s'est retiré du litige. Bien sûr, Mr bohrer, avec sa classe habituelle et son amour pour la vérité, crie sur tous les toîts qu'il a gagné les droits de copyrights alors qu'aucune vrai décision n'a été rendue, c'est une décision par défaut qui a été rendue dû au retrait de Wallace.

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La plupart d'entre nous se fiche pas mal de l'éditeur lorsqu'on achète un jeu. La question de base qu'on se pose : est-ce un jeu que je veux, que j'aime ou que je risque d'aimer? C'est ce qui nous fait décider d'acheter ou non.

 

Tu fais ce que tu veux. Mais si la plupart d'entre nous se fichait réellement de l'éthique des éditeurs, la contrefaçon monterait en flèche et aurait rapidement raison de notre hobby, les auteurs ne trouvant plus d'intérêt à faire des jeux. Notre hobby fonctionne en partie parce qu'un assez grand pourcentage des consommateurs s'informe et considère la feuille de route des éditeurs avant d'acheter.

 

Foutaise. Nommez-moi un seul jeu que vous avez refusez d'acheter sous prétexte de ne pas aimer « l'éthique » de l'éditeur. Si on s'y fiait vraiment, personne n'achèterais de jeux fabriqués en Chine, de jeux fabriqués à partir de carton et de bois (le vrai bois d'arbre comme diraient les Français) qui proviennent de ressources non facilement renouvelables, etc.

 

J'ai suivi le débat, et rien jusqu'ici ne me fait pencher plus d'un côté que de l'autre. Wallace a cédé les droits à Bohrer et ils se sont entendus pendant plusieurs années avec plus d'un tirage et plus d'une édition de Age of Steam. Tout à coup, quelque chose ne va plus, il s'est passé quelque chose entre les deux, qui n'a jamais été rendu public à ce que je sache. Wallace tente de reprendre ses droits et n'y arrive pas. Il déplore le fait que Bohrer réédite le jeu sans son consentement.

 

Pour ma part, je n'ai pas lu dans les interventions de Bohrer des intentions mesquines. C'est ajouter un degré de plus à son discours qui n'est peut-être pas là. Tant qu'on ne connaît pas le fond des choses (et on ne le saura peut-être jamais), et bien ça prendra un meilleur homme que moi pour juger qui a raison et qui a tort. Tous ceux qui penchent pour Wallace, à mes yeux, ont un parti pris car c'est un de leurs auteurs préférés ou, dans le cas de Filou, par solidarité pour un auteur de jeux. J'arrive dans le débat en toute impartialité et je ne vois pas comment trancher en faveur d'un ou de l'autre, car on n'a tout simplement pas tout l'historique et le passé de ces deux hommes.

 

 

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Foutaise. Nommez-moi un seul jeu que vous avez refusez d'acheter sous prétexte de ne pas aimer « l'éthique » de l'éditeur.

 

Cédric, je ne vois pas pourquoi tu mets en doute ma volonté de boycotter un éditeur qui publierait un jeu sans la permission de son auteur et qui ne verserait aucune redevance à celui-ci. Si je n'ai pas d'exemple à te donner, c'est que c'est la première fois que je suis informé d'un tel cas.

 

Pour ce qui est des forêts, elles repoussent. Je fais quand même de mon mieux pour les sauver, je mange du castor.

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Foutaise. Nommez-moi un seul jeu que vous avez refusez d'acheter sous prétexte de ne pas aimer « l'éthique » de l'éditeur. Si on s'y fiait vraiment, personne n'achèterais de jeux fabriqués en Chine, de jeux fabriqués à partir de carton et de bois (le vrai bois d'arbre comme diraient les Français) qui proviennent de ressources non facilement renouvelables, etc.

 

Je tiens juste à mentionner les points qui me font grincer des dents dans ton argumentation:

1) Tu fais de faux parallèles. Les débats "fabriqué en chine" et "usurper un auteur" sont très différents. On peut très bien avoir des opinions différentes par rapport à chacun.

2) Tu fais des généralisations. "Si on s'y fiait vraiment, personne n'achèterais". Ceux que ça dérange n'achètent pas. Je connais des gens qui n'achètent rien qui est fabriqué en Chine. J'en connais d'autres qui s'en fichent.

3) Tu te justifie en invoquant les actions (supposées) des autres. En gros: "je juge que tout le monde le fait, alors j'ai le droit de le faire aussi".

 

Tu es prêt à fermer les yeux, vas-y, mais faut pas croire que tout le monde est comme toi.

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Foutaise. Nommez-moi un seul jeu que vous avez refusez d'acheter sous prétexte de ne pas aimer « l'éthique » de l'éditeur. Si on s'y fiait vraiment, personne n'achèterais de jeux fabriqués en Chine, de jeux fabriqués à partir de carton et de bois (le vrai bois d'arbre comme diraient les Français) qui proviennent de ressources non facilement renouvelables, etc.

 

J'ai nommé Chicago Express de mon côté(rien contre QueensGame, mais c'est un "Licence from Winsome")

 

Tous ceux qui penchent pour Wallace, à mes yeux, ont un parti pris car c'est un de leurs auteurs préférés ou, dans le cas de Filou, par solidarité pour un auteur de jeux. J'arrive dans le débat en toute impartialité et je ne vois pas comment trancher en faveur d'un ou de l'autre, car on n'a tout simplement pas tout l'historique et le passé de ces deux hommes.

 

Je suis arrivé avec une totale impartialité également, alors on peut vraiment dire que "your mileage may vary". Je ne suis pas un fan de Wallace(je ne le déteste pas non plus, c'est juste que j'ai joué à un seul de ses jeux à ce jour! Je suis donc neutre) Je ne connaissais pas plus Bohrer voilà quelques mois avant de tomber sur un de ses messages par hasard sur BGG, jsutement sur le conflit sur AoS, que je suit depuis car je fais un certificat en droit et c'était très intéressant. Je n'avais donc aucun parti pris prior et je trouve ta généralisation un peu insultante. Ce n'est pas pare que je ne pense pas comme toi et que j'arrive à des conclusions différentes que mon raisonnement est soudainement non-valide.(Note: J'écrit à la première personne uniquement parce que je ne veux pas présumé parler pour les autres.)

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