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Jeux joué en octobre 2017


StarchildQC

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Allons-y d'emblée, le nouveau Feld risque de faire des déceptions pour ses fans.

 

Après ma deuxième joute hier, je confirme que le jeu ne fera pas partie des titres incontournables de son auteur.

 

D'abord le thème. Et là vous allez me dire : "c'est Feld, alors le thème est plaqué; donc pourquoi il faudrait s'attarder à la critique du thème?!!"

Et bien justement parce que ce n'est pas seulement Stefan Feld qui est derrière Merlin.

Feld par-ci, Feld par-là. Le nom est tellement sur toutes les lèvres des amoureux d'Euros que c'est à croire qu'il est celui qui a inventé le genre, au point d'oublier tout autre auteur qui ferait un jeu avec lui.

 

Ceux qui l'ont remarqué ont probablement vu aussi le nom de Michael Rieneck sur la boîte.

Et là, pour ceux qui ne connaissent pas Michael Rieneck, sachez que c'est un auteur d'Euros qui, non seulement s'efforce régulièrement de trouver une mécanique encore jamais vue dans ses jeux MAIS AUSSI, que c'est un auteur qui commence souvent par faire ses jeux autour du thème choisi afin de marier à ce thème les mécaniques qu'il a trouvées . On le voit en effet dans ses autres jeux tels Les Piliers de la Terre, Un Monde sans fin, Dracula, Salem, Saustall, Le Tour de monde en 80 jours ainsi que Cartagena : Die Meuterei. Je ne saurais dire si on peut voir le thème présent dans Une Colonne de Feu (suite de Les Piliers de la Terre et Un Monde sans fin qui vient de sortir) car je n'y ai pas joué. Mais je peux dire que pour Merlin, le rôle de Rieneck pour faire vivre un thème de façon ludique a dû être limité. Sauf peut-être pour Artus (de Kramer et Kiesling sorti chez Alea en 2011), je ne crois pas avoir joué à un jeu sur l'univers des chevaliers de la table ronde où le thème est si tiré par les cheveux.

Un exemple : le jeu nous permet de manipuler le hasard des dés en dépensant une pomme qui nous permettra de mettre le dé sur la face de notre choix; dé aussi qui permettra de déplacer notre chevalier pour faire une action autour de la table ronde. Pourquoi diable une pomme?!! Ne cherchez pas dans les films ou les romans sur le roi Arthur, vous ne verrez pas toute l'importance que le jeu accorde ici au fameux fruit. Cherchez plutôt dans l'étymologie de la langue celte... Elle s'appliquera quand vous verrez l'île sacrée d'Avalon, l'endroit où la dépouille d'Arthur est emmenée après sa mort. Le mot "Avalon" en ancien celte signifie littéralement "île de la pomme". La réserve de pommes dans Merlin est d'ailleurs disposée dans un coin du plateau avec une dame dessinée (la dame du lac?) et l'île d'Avalon en arrière plan. Voilà qui explique pourquoi la pomme, précieux fruit sacré de la mystique Avalon, nous permet ici de manipuler notre destin dans le jeu.

Ne cherchez pas non plus les autres personnages de la table ronde : on ne parle que de Merlin ou d'Arthur dans ce nouvel opus de Queen Games. Le reste des éléments aurait pu se trouver dans Game of Thrones que ça n'aurait pas fait une différence!

 

Mais bon. Le jeu lui? Est-il tout de même bien?

Oui et Non.

 

Oui, parce qu'il saura vous évoquer certaines des mêmes émotions et décisions que vous ressentez quand vous jouez au best-seller de Feld : Les Châteaux de Bourgogne. Un clin d'oeil est d'ailleurs fait à ce jeu dans les mécaniques de score pour les bâtiments construits dans Merlin. Le jeu a aussi le mérite d'être un peu plus interactif que son aïeul, amenant ainsi une certaine tension qui force des situations où l'on se surveille entre joueurs. La qualité de production est également très digne de l'éditeur nous ayant habitué à du tape-à-l'oeil, et fera ainsi taire les mauvaises langues qui disent que Feld ne sait faire que des jeux "beiges".

 

Non, parce que même si c'est un "Châteaux de Bourgogne plus interactif", Merlin demeure un jeu plus fermé et linéaire dans ses options tactiques et stratégiques qu'il offre aux joueurs. Le fait que tout est ramené à des déplacements livrés totalement au hasard des dés sur cette roue de 24 case d'actions spéciales au centre du plateau est déjà une chose. Mais le fait ensuite que vous ne pouvez déplacer votre pion seulement que trois fois par manche, dans le sens horaire UNIQUEMENT, vient sérieusement limiter l'amplitude des possibilités. Il y a bien des options pour essayer de contourner ces limites, telle cette pomme dont je parlais plus haut, ou encore des drapeaux aux différents pouvoirs qui servent à manipuler les déplacements et les dés. Mais ces options sont très peu exploitables parce que plutôt difficiles à obtenir. La fameuse pomme par exemple ne peut s'obtenir que sur une seule case des 24 à parcourir! Si peu exploitables sont ces options qu'il peut même arriver dans la partie que vous commenciez une manche, muni encore de tous vos dés servant à faire chacun de vos déplacements, et que malgré toutes vos options aucune ne vous apportera quoi que ce soit : même pas une seule ressource ou un maigre point de victoire. Il peut donc arriver que vous perdiez littéralement un tour en utilisant un dé pour absolument rien! Oh, je ne dis pas que ça arrivera souvent. Mais ça m'est arrivé une fois. Et j'ai vu aussi l'effet se produire chez un autre joueur. Et ça messieurs dames, pour un jeu avec de tels noms d'auteurs comme Feld et Rieneck qui sort d'un éditeur comme Queen Games, ça c'est assez inattendu.... pour ne pas dire décevant.

Comme LucRivNor a déjà dit d'un autre jeu à roue d'action beaucoup moins hasardeux, Round House, je dirais qu'on subit beaucoup plus le jeu qu'on le contrôle dans Merlin . Et le fait que le hasard soit grandement responsable de cette impression ne nous aide pas à apprécier le jeu pour ses qualités.

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Too Many Bones : Intéressant, mais long. Ça nous a pris 4 heures à 3 pour finir un tyrant 8 de distance. Surtout parce qu'il y a beaucoup beaucoup d'information à digérer dans une première partie. J'ai bien aimé, un jeu qui va sortir de temps en temps. Je kickstarterai pas la version à 2 joueurs (Undertow), j'ai amplement de contenu avec les 3 personnages de plus.

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Allons-y d'emblée, le nouveau Feld risque de faire des déceptions pour ses fans.

 

Après ma deuxième joute hier, je confirme que le jeu ne fera pas partie des titres incontournables de son auteur.

 

D'abord le thème. Et là vous allez me dire : "c'est Feld, alors le thème est plaqué; donc pourquoi il faudrait s'attarder à la critique du thème?!!"

Et bien justement parce que ce n'est pas seulement Stefan Feld qui est derrière Merlin.

Feld par-ci, Feld par-là. Le nom est tellement sur toutes les lèvres des amoureux d'Euros que c'est à croire qu'il est celui qui a inventé le genre, au point d'oublier tout autre auteur qui ferait un jeu avec lui.

 

Ceux qui l'ont remarqué ont probablement vu aussi le nom de Michael Rieneck sur la boîte.

Et là, pour ceux qui ne connaissent pas Michael Rieneck, sachez que c'est un auteur d'Euros qui, non seulement s'efforce régulièrement de trouver une mécanique encore jamais vue dans ses jeux MAIS AUSSI, que c'est un auteur qui commence souvent par faire ses jeux autour du thème choisi afin de marier à ce thème les mécaniques qu'il a trouvées . On le voit en effet dans ses autres jeux tels Les Piliers de la Terre, Un Monde sans fin, Dracula, Salem, Saustall, Le Tour de monde en 80 jours ainsi que Cartagena : Die Meuterei. Je ne saurais dire si on peut voir le thème présent dans Une Colonne de Feu (suite de Les Piliers de la Terre et Un Monde sans fin qui vient de sortir) car je n'y ai pas joué. Mais je peux dire que pour Merlin, le rôle de Rieneck pour faire vivre un thème de façon ludique a dû être limité. Sauf peut-être pour Artus (de Kramer et Kiesling sorti chez Alea en 2011), je ne crois pas avoir joué à un jeu sur l'univers des chevaliers de la table ronde où le thème est si tiré par les cheveux.

Un exemple : le jeu nous permet de manipuler le hasard des dés en dépensant une pomme qui nous permettra de mettre le dé sur la face de notre choix; dé aussi qui permettra de déplacer notre chevalier pour faire une action autour de la table ronde. Pourquoi diable une pomme?!! Ne cherchez pas dans les films ou les romans sur le roi Arthur, vous ne verrez pas toute l'importance que le jeu accorde ici au fameux fruit. Cherchez plutôt dans l'étymologie de la langue celte... Elle s'appliquera quand vous verrez l'île sacrée d'Avalon, l'endroit où la dépouille d'Arthur est emmenée après sa mort. Le mot "Avalon" en ancien celte signifie littéralement "île de la pomme". La réserve de pommes dans Merlin est d'ailleurs disposée dans un coin du plateau avec une dame dessinée (la dame du lac?) et l'île d'Avalon en arrière plan. Voilà qui explique pourquoi la pomme, précieux fruit sacré de la mystique Avalon, nous permet ici de manipuler notre destin dans le jeu.

Ne cherchez pas non plus les autres personnages de la table ronde : on ne parle que de Merlin ou d'Arthur dans ce nouvel opus de Queen Games. Le reste des éléments aurait pu se trouver dans Game of Thrones que ça n'aurait pas fait une différence!

 

Mais bon. Le jeu lui? Est-il tout de même bien?

Oui et Non.

 

Oui, parce qu'il saura vous évoquer certaines des mêmes émotions et décisions que vous ressentez quand vous jouez au best-seller de Feld : Les Châteaux de Bourgogne. Un clin d'oeil est d'ailleurs fait à ce jeu dans les mécaniques de score pour les bâtiments construits dans Merlin. Le jeu a aussi le mérite d'être un peu plus interactif que son aïeul, amenant ainsi une certaine tension qui force des situations où l'on se surveille entre joueurs. La qualité de production est également très digne de l'éditeur nous ayant habitué à du tape-à-l'oeil, et fera ainsi taire les mauvaises langues qui disent que Feld ne sait faire que des jeux "beiges".

 

Non, parce que même si c'est un "Châteaux de Bourgogne plus interactif", Merlin demeure un jeu plus fermé et linéaire dans ses options tactiques et stratégiques qu'il offre aux joueurs. Le fait que tout est ramené à des déplacements livrés totalement au hasard des dés sur cette roue de 24 case d'actions spéciales au centre du plateau est déjà une chose. Mais le fait ensuite que vous ne pouvez déplacer votre pion seulement que trois fois par manche, dans le sens horaire UNIQUEMENT, vient sérieusement limiter l'amplitude des possibilités. Il y a bien des options pour essayer de contourner ces limites, telle cette pomme dont je parlais plus haut, ou encore des drapeaux aux différents pouvoirs qui servent à manipuler les déplacements et les dés. Mais ces options sont très peu exploitables parce que plutôt difficiles à obtenir. La fameuse pomme par exemple ne peut s'obtenir que sur une seule case des 24 à parcourir! Si peu exploitables sont ces options qu'il peut même arriver dans la partie que vous commenciez une manche, muni encore de tous vos dés servant à faire chacun de vos déplacements, et que malgré toutes vos options aucune ne vous apportera quoi que ce soit : même pas une seule ressource ou un maigre point de victoire. Il peut donc arriver que vous perdiez littéralement un tour en utilisant un dé pour absolument rien! Oh, je ne dis pas que ça arrivera souvent. Mais ça m'est arrivé une fois. Et j'ai vu aussi l'effet se produire chez un autre joueur. Et ça messieurs dames, pour un jeu avec de tels noms d'auteurs comme Feld et Rieneck qui sort d'un éditeur comme Queen Games, ça c'est assez inattendu.... pour ne pas dire décevant.

Comme LucRivNor a déjà dit d'un autre jeu à roue d'action beaucoup moins hasardeux, Round House, je dirais qu'on subit beaucoup plus le jeu qu'on le contrôle dans Merlin . Et le fait que le hasard soit grandement responsable de cette impression ne nous aide pas à apprécier le jeu pour ses qualités.

 

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Allons-y d'emblée, le nouveau Feld risque de faire des déceptions pour ses fans.

 

Après ma deuxième joute hier, je confirme que le jeu ne fera pas partie des titres incontournables de son auteur.

 

D'abord le thème. Et là vous allez me dire : "c'est Feld, alors le thème est plaqué; donc pourquoi il faudrait s'attarder à la critique du thème?!!"

Et bien justement parce que ce n'est pas seulement Stefan Feld qui est derrière Merlin.

Feld par-ci, Feld par-là. Le nom est tellement sur toutes les lèvres des amoureux d'Euros que c'est à croire qu'il est celui qui a inventé le genre, au point d'oublier tout autre auteur qui ferait un jeu avec lui.

 

Ceux qui l'ont remarqué ont probablement vu aussi le nom de Michael Rieneck sur la boîte.

Et là, pour ceux qui ne connaissent pas Michael Rieneck, sachez que c'est un auteur d'Euros qui, non seulement s'efforce régulièrement de trouver une mécanique encore jamais vue dans ses jeux MAIS AUSSI, que c'est un auteur qui commence souvent par faire ses jeux autour du thème choisi afin de marier à ce thème les mécaniques qu'il a trouvées . On le voit en effet dans ses autres jeux tels Les Piliers de la Terre, Un Monde sans fin, Dracula, Salem, Saustall, Le Tour de monde en 80 jours ainsi que Cartagena : Die Meuterei. Je ne saurais dire si on peut voir le thème présent dans Une Colonne de Feu (suite de Les Piliers de la Terre et Un Monde sans fin qui vient de sortir) car je n'y ai pas joué. Mais je peux dire que pour Merlin, le rôle de Rieneck pour faire vivre un thème de façon ludique a dû être limité. Sauf peut-être pour Artus (de Kramer et Kiesling sorti chez Alea en 2011), je ne crois pas avoir joué à un jeu sur l'univers des chevaliers de la table ronde où le thème est si tiré par les cheveux.

Un exemple : le jeu nous permet de manipuler le hasard des dés en dépensant une pomme qui nous permettra de mettre le dé sur la face de notre choix; dé aussi qui permettra de déplacer notre chevalier pour faire une action autour de la table ronde. Pourquoi diable une pomme?!! Ne cherchez pas dans les films ou les romans sur le roi Arthur, vous ne verrez pas toute l'importance que le jeu accorde ici au fameux fruit. Cherchez plutôt dans l'étymologie de la langue celte... Elle s'appliquera quand vous verrez l'île sacrée d'Avalon, l'endroit où la dépouille d'Arthur est emmenée après sa mort. Le mot "Avalon" en ancien celte signifie littéralement "île de la pomme". La réserve de pommes dans Merlin est d'ailleurs disposée dans un coin du plateau avec une dame dessinée (la dame du lac?) et l'île d'Avalon en arrière plan. Voilà qui explique pourquoi la pomme, précieux fruit sacré de la mystique Avalon, nous permet ici de manipuler notre destin dans le jeu.

Ne cherchez pas non plus les autres personnages de la table ronde : on ne parle que de Merlin ou d'Arthur dans ce nouvel opus de Queen Games. Le reste des éléments aurait pu se trouver dans Game of Thrones que ça n'aurait pas fait une différence!

 

Mais bon. Le jeu lui? Est-il tout de même bien?

Oui et Non.

 

Oui, parce qu'il saura vous évoquer certaines des mêmes émotions et décisions que vous ressentez quand vous jouez au best-seller de Feld : Les Châteaux de Bourgogne. Un clin d'oeil est d'ailleurs fait à ce jeu dans les mécaniques de score pour les bâtiments construits dans Merlin. Le jeu a aussi le mérite d'être un peu plus interactif que son aïeul, amenant ainsi une certaine tension qui force des situations où l'on se surveille entre joueurs. La qualité de production est également très digne de l'éditeur nous ayant habitué à du tape-à-l'oeil, et fera ainsi taire les mauvaises langues qui disent que Feld ne sait faire que des jeux "beiges".

 

Non, parce que même si c'est un "Châteaux de Bourgogne plus interactif", Merlin demeure un jeu plus fermé et linéaire dans ses options tactiques et stratégiques qu'il offre aux joueurs. Le fait que tout est ramené à des déplacements livrés totalement au hasard des dés sur cette roue de 24 case d'actions spéciales au centre du plateau est déjà une chose. Mais le fait ensuite que vous ne pouvez déplacer votre pion seulement que trois fois par manche, dans le sens horaire UNIQUEMENT, vient sérieusement limiter l'amplitude des possibilités. Il y a bien des options pour essayer de contourner ces limites, telle cette pomme dont je parlais plus haut, ou encore des drapeaux aux différents pouvoirs qui servent à manipuler les déplacements et les dés. Mais ces options sont très peu exploitables parce que plutôt difficiles à obtenir. La fameuse pomme par exemple ne peut s'obtenir que sur une seule case des 24 à parcourir! Si peu exploitables sont ces options qu'il peut même arriver dans la partie que vous commenciez une manche, muni encore de tous vos dés servant à faire chacun de vos déplacements, et que malgré toutes vos options aucune ne vous apportera quoi que ce soit : même pas une seule ressource ou un maigre point de victoire. Il peut donc arriver que vous perdiez littéralement un tour en utilisant un dé pour absolument rien! Oh, je ne dis pas que ça arrivera souvent. Mais ça m'est arrivé une fois. Et j'ai vu aussi l'effet se produire chez un autre joueur. Et ça messieurs dames, pour un jeu avec de tels noms d'auteurs comme Feld et Rieneck qui sort d'un éditeur comme Queen Games, ça c'est assez inattendu.... pour ne pas dire décevant.

Comme LucRivNor a déjà dit d'un autre jeu à roue d'action beaucoup moins hasardeux, Round House, je dirais qu'on subit beaucoup plus le jeu qu'on le contrôle dans Merlin . Et le fait que le hasard soit grandement responsable de cette impression ne nous aide pas à apprécier le jeu pour ses qualités.

 

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Merci pour cette critique. Moi qui l'avait dans la mire, c'est maintenant chose du passée ;)

 

Si Merlin est pas bon, ça doit être la faute à Rieneck :tongue:

 

J'ai quand même hâte de l'essayer !

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connaissant la propension de Zendor d'inventer / omettre / adapter à sa compréhension les règles (comme il a déjà dit, les règles c'est optionnel!), je dirai que la version qu'il a joué n'est peut-être pas celle qui est dans la boite du jeu :biglol

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connaissant la propension de Zendor d'inventer / omettre / adapter à sa compréhension les règles (comme il a déjà dit, les règles c'est optionnel!), je dirai que la version qu'il a joué n'est peut-être pas celle qui est dans la boite du jeu :biglol

 

:)

 

C'est quand même drôle que tu le mentionnes puisque c'est pas moi qui l'ait expliqué, ni lu les règles!

 

Par compte, à la deuxième partie, on s'est effectivement rendu compte d'un détail qui avait été omis durant la première. On a ensuite revérifier les règles pour s'assurer que rien d'autres ne faisait défaut.

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Ce soir chez LDP:

 

King domino géant: Victoire de LDP avec une grosse forêt et un gros lac.

Ex libris: Bon jeu où il faut gérer plein de choses en même temps . Va falloir y rejouer pour avoir un avis final plus déterminé. Victoire claire de Jon Snow

Clank in space: Score final: 119-119-119! Je gagne par tie breaker (plus gros artefact)

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